Deux ateliers ouverts à tous, sans aucune formation préalable au dessin ou à la peinture seront au rendez-vous de notre festival. Rien que du plaisir !
Les animations jeunesse seront au rendez-vous de notre festival Évasion.
Parc Château Maguier
Samedi 04 octobre et dimanche 5 octobre
De 14h30 à 18h – Espace Ô toit rouge
TICIA la conteuse
Liberté Poulailler Fraternité
14h30 à 15h ► 1re séance
15h30 à 16h ► 2de séance
Contes, marionnettes et accompagnement audio
« Ici les animaux prennent la parole ! Vous apprendrez ainsi de la bouche de Cocotte comment il peut naître 5 poules d’une petite plume et comment Poulette et ses amis donnèrent les ailes de la liberté à leur ami le cochon .
Des histoires de plumes qui sous leurs légèretés apparentent dévoilent des idées nobles et courageuses ».
« Quelques notes de musique au Am Drum et un prince fait son entrée : amour et baguette magique se succèdent suivis d’une histoire étourdissante, étonnante, ébouriffante ! Et là vous êtes sur les chemins extravagants de votre imagination… et de la mienne ! »
Durée : 30mn
Jauge : 15 personnes/séance.
Public : à partir de 4 ans et jusqu’à 99 ans
Les enfants de 4/6 ans devront être accompagnés d’un adulte.
Le projet s’est déployé en Californie aux États-Unis, un état où, tout à la fois, se concentrent les industries spatiales les plus nuisibles à la qualité du ciel noir et les communautés les plus engagées dans sa préservation. La « marche aux étoiles » combine une aventure pédestre et un périple en campervan, deux parcours parallèles pour illustrer deux états du ciel californien : le « ciel pur des origines » dont subsistent des poches dans le désert intérieur et le « ciel ébloui des métropoles » qui domine les régions urbanisées du littoral.
Sonia Privat se consacre à représenter ces terres lointaines qui l’inspirent tant, notamment l’Afrique et l’Inde. Elle nous emmènera de nouveau sur ses chemins où elle peint inlassablement et aime capturer l’expression d’un visage, tenter de dévoiler la profondeur de l’âme.
Quelle plante a tué le héros d’Into the Wild ? Les espèces végétales bioluminescentes d’Avatar existent-elles vraiment ? Est-il possible de faire pousser des pommes de terre sur Mars, à l’image de Matt Damon dans Seul sur Mars ? Des plantes qui séduisent à celles qui tuent, Katia Astafieff nous révèle avec humour les pouvoirs, réels ou imaginaires, de ces végétaux qui, loin d’être des éléments de décor, participent activement aux intrigues. Orchidées, plantes carnivores, roses, séquoias, virevoltants… Partez à la découverte des plantes stars du grand écran !
Conférence parrainée par Espace Mendes France Poitiers et NACSTI
Jean-Yves Simon, peintre, écrivain et voyageur nous plongera dans la magie des temples et des arbres sur le site archéologique d’Angkor. Pris de passion pour ce lieu dont il jugeait « insensé qu’un pareil tas de gravats puisse rendre aussi heureux », il effectua, à partir de 2013, quatre voyages en terre Khmer.
Partie le 1er juin 2011, Caroline Moireaux est revenue en France après 8 ans de voyage autour du monde majoritairement à pied, mais aussi à vélo et en bateau, plus de 53000 Km, 30 pays et des souvenirs plein la tête. Partie à la rencontre des gens, ce chemin l’a amenée à la rencontre d’elle-même.
Dans un essai qui convoque philosophes, scientifiques et grands noms de l’aventure, Gérard Guerrier nous explique la peur et ses mécanismes. Puis, il explore la notion complexe de courage : vertu physique, psychologique ou morale, unanimement célébrée depuis des millénaires.
Le 13 juillet 1793, Charlotte Corday, républicaine de 24 ans, assassine Jean-Paul Marat, député montagnard. L’auteure, sa cousine éloignée, retrace la vie de cette dernière de Caen à son exécution, redonnant une voix à ces personnages historiques et à leur entourage, en particulier aux femmes. Elle s’interroge sur les motivations de Charlotte mais préserve le mystère de cette décision personnelle.
Le roman vrai de Fathima. Une vie inventée (on ignore tout de cette femme, y compris son nom de famille, mais on dispose d’une photo d’elle reproduite par un article du journal français Le Miroir en 1915), de la seule femme spahi de la Première guerre, engagée en se faisant passer pour un homme afin de suivre son amant, un lieutenant de l’armée française. Des dizaines d’années plus tard, elle se raconte à Akila, une jeune fille du village de Tamatert au Maroc où Fathima s’est retirée, qui revivra à travers elle son épopée. Parcours singulier à travers le temps d’une Berbère exceptionnelle embarquée par amour dans la grande Histoire, une femme qui s’est affranchie des codes de son époque.
Remise du Prix et rencontre avec l’heureux lauréat
Crédit photo @Mélissa Pollet-Villard
Le lauréat du prix des lecteurs « Au large Au loin » est Marc Nouaux pour récit de voyage A la recherche de la Patagonie aux Éditions Elytis.
Récit d’un voyage en auto-stop réalisé de Mendoza jusqu’à l’extrême sud de la Patagonie. Sur la ruta 40 et les pistes secondaires, les rencontres avec les habitants et les paysages grandioses ébranlent les certitudes du voyageur;
«Je rumine pendant de longues heures notre manque de courage et d’audace, pense à tous ces aventuriers des siècles derniers qui ne s’encombraient pas des obstacles : ils les surmontaient. L’apprentissage de l’itinérance peut être à ce prix : celui des désillusions.»
Janvier 1961, dans la station polaire soviétique de Daleko, cinq hommes sont chargés par le Parti d’affirmer la présence russe dans la région. Vadim, l’un d’eux, convaincu que Nikolaï a triché durant leur partie d’échecs, le tue d’un coup de hache. A son réveil, leur chef Anton découvre le cadavre et enferme Vadim dans le cellier où la température culmine à -15°C.
Ce huis clos implacablement réglé se transforme en un roman d’aventures original et haletant, imprégné d’humour noir.
La nostalgie chez Pagnol, de ses souvenirs d’enfance à ses créations théâtrale et cinématographique. Au travers de la lecture de divers extraits de l’œuvre de Marcel Pagnol
Enseignant en retraite spécialisé dans l’art des jardins.
Le jardin français, fondements culturels et reflets dans les sociétés
L’Homme a eu très vite la volonté de domestiquer la Nature et il a ainsi développé une organisation sociale. Le jardin est au centre de cette démarche.
Les aspirations fondamentales de l’Humanité se retrouvent dans les jardins : sens artistique, recherche de l’harmonie, mise en ordre du monde, notion du sacré.
Cette conférence montrera comment, en France, se fera cette évolution.
Cette conférencea reçu le soutien des PAI (programmes d’animations d’initiatives) en 2024 de la Région Nouvelle-Aquitaine, qui encouragent la diffusion de la culture scientifique, technique & industrielle dans tous les territoires néo-aquitains.
Enseignant en classes préparatoires, titulaire d’un Doctorat de Littérature consacré à Marcel Pagnol
Marcel Pagnol, auteur populaire et sous-estimé
Marcel Pagnol Harcourt 1948
Jusqu’il y a une vingtaine d’années, le nom de Marcel Pagnol n’apparaissait pas aux yeux de beaucoup d’universitaires et critiques littéraires comme celui d’un auteur « sérieux ». Lorsque je décidai de consacrer un Doctorat à cet écrivain, je me souviens que mon directeur de thèse m’avait indiqué qu’il serait seulement
le…troisième, alors qu’il y en avait cinquante-deux sur l’œuvre de Jean Giono.
D’où pouvait venir cette réserve, voire ce dédain, d’une certaine intelligentsia ?
Traditionnellement, en France on se méfie du succès. Il traîne quelque part l’idée que ce qui plaît au plus grand nombre est forcément de mauvaise qualité – point de vue qui peut s’avérer juste quand on évoque un effet de mode, mais pas à propos d’une œuvre (théâtrale, cinématographique, autobiographique, romanesque) qui demeure populaire depuis bientôt cent ans.
Ensuite, Marcel Pagnol était parfois vu depuis Paris comme un Marseillais (ce qui est presque vrai), et donc comme un « rigolo » (ce qui pour le compte n’est pas vrai du tout).
L’objet de cette conférence est de remonter aux véritables sources du succès de l’œuvre de Marcel Pagnol.
Regards de cinéastes; nos deux grands films documentaires du festival qui nous offrent la vision de notre monde par des réalisateurs voyageurs, témoins de notre temps.
Vendredi 04 octobre 2024 à 20h30, salle H. Neveur
MAMODY, Le dernier creuseur de baobabs
Projection en présence de son réalisateur, Cyrille Cornu
Dans le sud-ouest de Madagascar, le plateau Mahafaly est une terre très aride où il ne pleut que quelques fois dans l’année. Dans ces conditions de vie extrêmes, les habitants du petit village d’Ampotaka ont trouvé une solution unique pour stocker de l’eau. Ils creusent les baobabs pour les utiliser comme citernes vivantes.
Le film sur Mamody et son savoir-faire présente de façon ethnographique le lien exceptionnel qui unit les femmes et les hommes de cette partie de l’Île avec les baobabs. Ce film sensibilise sur l’importance d’une gestion responsable de l’eau, une ressource vitale dont la préservation sera cruciale pour nos sociétés dans le futur.
Le film a été multi récompensé en France et dans le monde
RÉSERVATIONS PAR CB UNIQUEMENT
Entrée 8 euros / 4 euros pour enfants – 12 ans
Pass des 2 films des 4 & 5 octobre non-adhérents 14€ /adhérents 12€ /enfants – 12 ans 6€
En présence, de ses réalisateurs Sophie Planque et Jérémy Vaugeois
L’Europe a-t-elle un héritage animiste légitime au même titre que la Pachamama d’Amérique du Sud ou bien le shintoïsme du Japon ?
Et si oui, quel est-il ?
Aux pays des brumes, en Estonie, Lettonie et en Lituanie, au solstice d’hiver, le feu sacré qui célèbre le retour du soleil, ravive d’anciennes croyances millénaires oubliées dans le reste de l’Europe. Sophie Planque et Jérémy Vaugeois ont décidé de partir à vélo expérimenter l’hiver balte et de rencontrer celles et ceux qui font vivre ces cultures ancestrales. Un héritage singulier qui nourrit un rapport profond à la nature. Au gré des rencontres et des lieux symboliques parsemés tout au long de la route, les deux voyageurs recueillent les indices d’un vrai attachement aux origines et d’un rapport précieux au vivant dans toutes ses dimensions. Une itinérance hivernale, toute de blanc vêtu, “où même le silence se voit”.
RÉSERVATIONS PAR CB UNIQUEMENT
Entrée 8 euros / 4 euros pour enfants – 12 ans
Pass des 2 films des 4 & 5 octobre non-adhérents 14€ /adhérents 12€ /enfants – 12 ans 6€
Moment privilégié en compagnie de Jacques-Edmond Machefert qui nous plonge une fois de plus dans une intrigue au cœur de la Charente Maritime.
Pendant que le festival « Un Violon sur le Sable » bat son plein à Royan, d’étranges personnages hantent les bords de Seudre. Leur attitude mystérieuse intrigue William, un ostréiculteur du bassin de Marennes-Oléron. Sans imaginer les dangers que sa curiosité lui fait courir, ce quadragénaire romanesque entame alors une enquête dont les enjeux le dépassent. Au point que l’enchaînement des événements va bouleverser sa vie…
Un ton décalé, une écriture espiègle, ce Thriller made in Charente-Maritime tient toutes ses promesses.
Auteure BD, dessinatrice et conteuse seront à notre rendez-vous du festival. Ils offriront des animations aux enfants, de tous les âges, durant les deux journées , des animations gratuites et de qualité.
Auteure de bande dessinée et illustratrice française, elle a la particularité de ne travailler qu’en peinture, dans un style rappelant aussi bien l’expressionnisme que la bande dessinée picturale de Lorenzo Mattotti ou Alberto Breccia.
La Meute – Récit de Cyril Herry. Peintures d’Aude Samama – Éditions Futuropolis 2023
Retrouvez la
Atelier le dimanche 6 octobre de 14h à 15h30 ► Aude Samama Portrait et/ou autoportrait en couleurs
Concernée par toutes les formes de peinture et d’art plastique, elle incite ses élèves à réaliser des expositions sur le thème du festival. Elle mène également de nombreux ateliers d’expression artistique durant cette manifestation.
Retrouvez la tout le long du festival, activité dessin sur son stand
Ô Toit Rouge est un chalet en bois sur roues aménagé en théâtre dans lequel Ticia la conteuse marionnettiste donne ses spectacles. Il est un lieu de spectacle de contes et de marionnettes itinérant et unique en France.
Ô toit rouge
Ticia conte, mime, chante, interprète, manipule ses marionnettes, s’accompagne d’un instrument de musique, sait captiver son public et est « une véritable artiste des histoires ».
Retrouvez la
Samedi 5 octobre de 14h30 à 18 h ► TICIA la conteuse Sur les ailes du conte & Liberté Poulailler Fraternité ( plusieurs séances – réservation conseillée – jauge à chaque séance 15 pers)
Dimanche 6 octobre de 14h30 à 18h ►TICIA la conteuse Sur les ailes du conte & Liberté Poulailler Fraternité ( plusieurs séances – réservation conseillée – jauge à chaque séance 15 pers)