L’association L’Écriture prend le large est au regret d’annoncer que son Festival Littéraire et Artistique « Routes du monde » des 27-28 et 29 mars est annulé en raison de la situation pandémique du covid-19 afin de ralentir sa progression et sa circulation . Très rapidement nous indiquerons s’il s’agit d’une annulation pure et simple ou d’un report à une date ultérieure .
Les animations jeunesse(espace spécifique sous les tivolis)
Le festival offre aux enfants, de tous les âges, durant les deux journées en continu, des animations gratuites et de qualité, conçues par les invités du festival
Librius invite les enfants sous les tivolis [ décoration de l’espace par des enfants et la participation de résidents de l’EHPAD Les Jardins des Hauts de Thénac ]
En continu, durant les deux jours, sur le stand de Marthe Castagneyrol, à partir de 5 ans, les enfants sont invités à créer des motifs artistiques
Samedi 28 mars
14h15-15h : Jérôme Monzein : Contes sur les routes du monde – enfants de tous âges
15h15-16h15: Calista Moon: Bienvenue dans le monde des contes de fées – atelier artistique
( enfants 7 /10 ans )
16h30-17h : Nane et Jean-Luc VézinetSi les arbres nous étaient contés
(à partir de 7 ans)
17h15- 18h : Marie-Claude Pisquet Conte en dessin , un beau voyage entré écoute et création artistique
(enfants 7/11 ans)
Dimanche 29 mars
14h -14h30Théâtre enfants : Petite performance spécifique pour le festival (enfants et familles de tous âges)
14h45 -16h45Marc Daniau : « Portraits de famille » un exercice artistique très joyeux, à vivre en famille (pour tous et en participation libre)
17h-17h45Jérôme Monzein «Contes sur les Routes du monde » enfants de tous les âges
En ce 9 Mars 2020, le jury a désigné les nouvelles lauréates du concours 2020
1er prix :Dérives de Jessica Pagazani , habitante du Morbihan.
1er coup de cœur : Une rue sans issue de Edouard Launet habitant de la Manche.
2ème coup de coeur:Le maillot jaune de Marie Hélene Boisier habitante la Haute Garonne.
Les gagnants seront avertis personnellement de ces résultats et conformément au règlement et seront invités à la remise des prix le samedi 28 mars 2020 à Thénac.
Les nouvelles choisies par le jury seront publiées sur notre site après le festival .
L’association remercie tous les particitants : Qu’ils soient de France ou d’un autre pays: Belgique, Brésil, Canada, Israël, Suisse.
Un grand merci également au jury qui a eu la patience de lire les nombreuses nouvelles.
Depuis le 18ème siècle les grands expéditions maritimes ont permis de ramener de nouveaux légumes fruits et épices. Aujourd’hui, les scientifiques continuent de découvrir et tentent de préserver cette richesse botanique
17h30- 18h30: Alain Persuy : La biodiversité sauvage et la biodiversité cultivée »
La biodiversité des plantes cultivées a depuis toujours été façonnée par les agriculteurs. La biodiversité sauvage, victime des activités humaines, connait un niveau d’extinction sans précédent. Nous sommes comptables de ces deux évidences.
Dimanche 29 mars
13h30-14h45 : Allaert Lodewijk « Carpates, la traversée de l’Europe sauvage »
Sur 2000 kms, à pied,il a affronté des montagnes légendaires et parcouru des chemins de transhumance. Il nous révèle ainsi une autre Europe, authentique et profonde.
La Route 66 est la route la plus mythique des Etats-Unis, et parmi les plus légendaires du monde. La « route magique » relie la Californie à Chicago sur 3500 kms et traverse huit états avec les paysages les plus extrêmes (déserts, montagnes, prairies entre les Grands Lacs et Océan Pacifique)
16h45- 17h45 : Stève Lucas « Ce jour-là c’était la nuit, voyager avec le handicap »
Antérieurement il a fait le tour du monde, mais aujourd’hui, il nous retrace l’aventure de ses jambes perdues, comme s’il s’agissait d’un nouveau voyage !
Les rencontres littéraires sont toujours un grand moment pour entrer dans le monde intérieur de l’écrivain et dans sa démarche d’écriture. Moments d’échanges, de partage et de convivialité, telles sont les conversations littéraires !
Samedi 28 mars 2020
David Sarnac
Derek Munn
Marc Wiltz
Bernard Rio
Simon
Jérémie Cavé
14h15-14h45:DavidSarnac « Que faire de la poésie ? »
15h-15h30:Derek Munn « Le vibrant voyage du cavalier »
15h45-16h15:Marc Wiltz « Sur la route d’Ho Chi Minh, figure emblématique du Vietnam »
16h30-17h : Jérémie Cavé« le sacrilège d’Icare ou ce gaspillage insensé des sociétés modernes »
17h15-17h45 :Simon « Être écrivain, artiste, peintre et voyageur »
18h-18h30 : Bernard Rio « La passionnante histoire des chemins de France »
Michel Noll, le réalisateur de ce film est producteur, directeur de programmes de télévision et un très grand documentariste.
Paysages grandioses, rites ancestraux, passages périlleux, cette épopée merveilleuse qui unit les hommes et les bêtes durant 4000kms entre le Yunnan en Chine et le Tibet, est un sentier millénaire, théâtre de l’histoire des hommes. Le film suit les empreintes de ces caravanes du thé qui partent de montagnes légendaires pour transporter les galettes si précieuses à travers l’Himalaya. Elles seront ensuite vendues sur le grand marché de Lhassa au Tibet, puis dispersés dans le monde entier.
La route du thé est entrée dans la légende des grandes routes commerciales qui ont construit le monde
Le film sera présenté et commenté par Jiann-Yuh Wang, Professeur, journaliste, spécialiste de l’histoire de la Chine et de sa littérature.
Voir tarifs et réservations fin de l’article
Samedi 28 mars – salle Hélène Neveur – 21h
Terra
Soirée d’exception avec la projection d’un film de Yann Arthus Bertrand
En partenariat avec la Fondation Good Planet
Engagée pour le respect de l’environnement, la Fondation Good Planet, créée et présidée par Yann Arthus Bertrand met en œuvre des projets de terrain afin d’agir pour la planète et ses habitants, et propose ainsi, à tout un chacun, de devenir acteur du changement en s’engageant à ses côtés.
Yann ArthusBertrand, photographe et réalisateur de documentaires, est impliqué dans le combat pour l’environnement.
Il est mondialement connu.
Epaulé par une équipe de cinéastes animaliers du monde entier, le photographe Yann Arthus-Bertrand et le réalisateur Michaël Pitiot mettent en images la formidable épopée du vivant, des premiers lichens aux gigantesques forêts, des singes de la jungle aux grands animaux mythiques de la savane. Ce très beau film sait nous faire voyager sur une planète que l’on connait mal, mais à qui, nous les humains, nous devons notre existence. Ce documentaire visuellement saisissant nous plonge dans les beautés de la biodiversité et montre aux hommes qu’ils sont encore capables de changer le cours de leur avenir.
Le film sera présenté et commenté par Alain Persuy, scientifique écologue, spécialiste de la biodiversité
Tarifs – Réservations
Entrée 8 euros / 4 euros pour enfants – 12 ans
Pass pour les deux films La Route du thé + Terrades vendredi 27 et samedi 28 mars 14 euros
Pass pour les deux films La Route du thé + Terrades vendredi 27 et samedi 28 mars 12 euros pour les adhérents
Pass pour les deux films La Route du thé + Terrades vendredi 27 et samedi 28 mars 6 euros pour les enfants – 12 ans
RÉSERVATIONS PAR CB / film La Route du Thé
RÉSERVATIONS PAR CB / film Terra
RÉSERVATIONS PAR CHÈQUE
bulletin de réservation à compléter et à renvoyer avant le 23 mars à l’adresse indiquée sur celui-ci
La littérature a été longtemps l’unique moyen pour les hommes de conserver une trace écrite de notre histoire mais aussi de diffuser et de partager leurs idées. Aujourd’hui elle reste indispensable au fonctionnement social et enrichit fortement la compréhension de soi et du monde qui nous entoure.
Écrivain et cinéaste, il voyage sur les lieux où s’est reconstruite la diaspora noire. Né aux USA dans le Missouri, il évoque dans ses livres l’histoire des noirs américains, de l’esclavage jusqu’à son abolition, de la ségrégation à la pleine jouissance des droits civiques, du rejet jusqu’à l’intégration. Il a en tête d’autres chemins que les hommes parcourent pour construire leur vie et dont il voudra être le témoin.
Pour cet anglais, la décision de vivre en France a été importante et très positive pour sa création littéraire. Ses héros mènent leurs vies dans la cadre d’un voyage où comptent les paysages mais aussi les émotions, les rêves et les souvenirs.
« Le cavalier » Éditions l’ile des marges
Extrait
Une sensation d’abord, l’homme n’y est pas pour l’instant, ou est subsidiaire, c’est sa fatigue qui avance, une sensation de cuir, un cuir souple, épais, résistant, je le sens, je vois son grain. Une paire de bottes. J’ai envie de les toucher, de les mettre, mais il y a déjà des jambes, qui marchent, qui boitent. L’homme est descendu de son cheval, ils marchent ensemble, ils rentrent à la maison.
Un voyage qui persiste dans le temps.
Différents états d’usure des bottes se superposent, du cirage à la boue, jusqu’à la poussière qui couvre tout à la fin, moite, agglutinée en bas de celle de gauche dans les bajoues de cuir tombant autour du talon quand, arrivé, l’homme se laisse glisser de la selle pour la dernière fois, se tassant comme un sac de pommes de terre en prenant appui sur l’immobilité de l’animal qui maintenant détourne la tête.
Je comprends alors qu’une fois ses bottes enlevées cet homme ne marchera plus jamais.
Pierre Mazet est né dans une grande famille de mineurs à Metz. Après des études universitaires en sciences économiques, il rejoint l’INSEE à Paris et occupera divers postes dans l’administration française et internationale. Il inaugure avec bonheur un nouveau genre en littérature : le polar de voyage.
« Le mystère de la croisière jaune » Éditions Elytis
Après le succès de la croisière noire lancée en 1924, Georges-Marie Haardt, l’un de ses artisans, songe rapidement à ouvrir la « route de la soie » à la circulation automobile. Le raid débute en 1931 et se double d’une expédition scientifique. De nombreux savants participent à cette formidable épopée, dont le prêtre jésuite Pierre Teilhard de Chardin, également géologue, paléontologue et philosophe. Au-delà de la performance, l’idée de Haardt est de prolonger l’expédition en ouvrant une nouvelle voie en Indochine. Mais Haardt décède d’une pneumonie le 16 mars 1932 à Hong Kong. La croisière jaune se termine dans le triomphe et la tragédie. C’est sous la forme d’un carnet de voyage tenu par Teilhard de Chardin que Pierre Mazet revisite l’histoire de cette aventure. Polar-voyageur, Le Mystère de la croisière jaune nous plonge en Asie, au temps des grandes épopées Citroën.
Par les livres, il poursuit son exploration du monde avec la passion du lieu et de la formule. Qualifié d’écrivain voyageur, il tient à son écriture de prédilection : les fragments (qui est une forme littéraire en prose très ancienne).
« Rejoindre les archipels » Éditions Papirus
David Sarnac réalise son autobiographie « Rejoindre les Archipels ». Un voyage poético-philosophique rare dans l’espace et dans le temps.
Extrait
« P » comme Poésie : « Si tu veux savoir quoi que ce soit de valable en poésie, il te faudra apprendre à marcher nu.
Diplômé de sciences Po et consultant en écologie urbaine, ses romans sont marqués par ses nombreux voyages à travers le monde et sa colère face à la destruction environnementale en cours.
« Le sacrilège d’Icare » Éditions Thot
Le 21 janvier 1927, une surprise-party de la haute société nantaise dégénère en bacchanale, déclenchant une « affaire » qui défraya la chronique. Pourquoi cette soirée mondaine bascula-t-elle en orgie demeure un mystère… Jérémie Cavé donne ici sa version des faits : l’irruption d’une bande de noceurs séditieux, la déflagration sensorielle du jazz, la désinhibition inspirée par le vin Mariani…
Né à Taiwan, diplômé de l’École Normale Supérieure de la Sorbonne .il est professeur, journaliste et traducteur de romans chinois en français. Il participe activement à la promotion des échanges culturels entre les deux pays.
Plus de vingt-cinq ans passés sur les routes de la planète lui ont donné une certaine sérénité face à l’adversité et une grande capacité d’adaptation. Écrivain et photographe, il est spécialiste de l’Asie et a écrit une quinzaine de livres de chroniques de voyage.
« Chroniques indochinoises » Éditions Sipayat
Extrait
Si je n’avaiS pas craint de me faire expulser dès l’arrivée, je me serais bien vu hurler dans le hall de l’aéroport d’Ho Chi Minh City, l’ancienne Saïgon : « Gooooooooood Mornniing Viêtnammmmmm ». je l’ai pensé très fort et, en attendant devant la guérite de l’immigration que l’officier me rende mon passeport dûment tamponné, j’ai fredonné les quelques notes du vieux tube de james Brown en roulant le bassin histoire de me dérouiller un peu : I Feel Good! Honnêtement, je fanfaronne. je n’ai pas crié, tout simplement parce que je n’en avais pas la force; épuisé moins par le voyage – un vol de nuit d’une douzaine d’heures certes, mais direct – que par les mois qui le précédèrent: la lutte quotidienne pour la survie; l’insupportable sentiment de solitude face au tourbillon qui vous aspire irrémédiablement dans un océan déchaîné face auquel il arrive un moment où il ne sert plus à rien de ramer
Il se passionne pour les Roms : nomades, toujours sur les routes et qui souffrent d’une discrimination permanente. Leur histoire est aussi jalonnée de persécutions en particulier avec les crimes perpétrés par les Nazis.
Professionnel de l’audiovisuel il aime les mots, les images et le jazz. Tous ces éléments se retrouvent dans romans policiers. Il entretient aussi une passion pour la Saintonge qu’il connaît si bien et qui est présente dans la plupart de ses livres.
« Saintes frayeurs » Éditions les Indes Savantes
La jeune et jolie Suzanne, ce matin-là, ne se présente pas au garage Simca de Saintes où elle est secrétaire-comptable. Elle a disparu. Toute la journée, ses proches la cherchent en ville et au-delà. Sans plus de succès que la police ! Un promeneur la découvrira, le lendemain matin, à plus d’un kilomètre de chez elle, dans « un coin de verdure où chante une rivière ». Assassinée.
Jalonnée de témoignages contradictoires, de dénonciations calomnieuses, de suspects potentiels rapidement mis hors de cause, une longue et tortueuse enquête commence. Elle expose sous une lumière crue, les grandeurs et les faiblesses d’une communauté provinciale au début des années soixante. Neuf mois plus tard, un étudiant à l’école d’agriculture est arrêté. Il avoue, puis se rétracte. Pendant des mois, le juge d’instruction, assisté d’experts, va tenter de prouver la culpabilité du jeune homme en cernant au plus près sa personnalité complexe. François Leduc est un voleur, il ne le nie pas, mais est-il celui que la presse a surnommé « L’assassin de la pleine lune » ? C’est à cette question que la cour d’assises de Saintes devra répondre trois ans après le meurtre.
Petite-fille d’ostréiculteur et femme de marin-pêcheur, elle souhaite partager, dans ses livres, les rudes parcours des femmes. Elle a consacré ses 20 dernières années à la valorisation du village ostréicole de Fort Royer, un domaine ancestral modelé par la mer et la sueur des hommes, pour lui redonner un peu de l’âme qu’il avait autrefois.
« A la vie à la mer » Éditions Gabelire
Désormais bien installée dans son entreprise ostréicole artisanale, Mélina ne parvient pas à tourner la page de son histoire d’amour avec Nathanaël. Celui-ci ne vit plus que pour Évaëlle, sa petite fille de deux ans, déchiré entre un passé qui le rattrape et le devenir incertain de son métier. Tyrannisé par le dictat machiavélique et vénal de Rodolphe qui règne en maître sur le port de pêche, le jeune marin doit aussi se battre pour défendre son avenir. Victime d’un destin infernal entre éclats de bonheur, disparitions inquiétantes et pièges mortels, Mélina survivra-t-elle à la violence de ce milieu maritime à bout de souffle ?
Professeur des écoles et romancière du réel, elle démontre un réel talent dans ses romans ainsi que dans ses carnets de voyage pour enfants réalisés de manières ludiques et pédagogiques.
Après avoir fait sa carrière au Ministère des finances, il consacre sa retraite à des activités culturelles et à l’écriture. Auteurs de plusieurs romans, il s’attache à dépeindre des existences remarquables et inexplicables, réelles ou fantasmées. Il apprécie aussi les situations confuses et inquiétantes que l’on retrouve dans ses thrillers.
« La robe noire » Éditions Weblim
Que deviennent les larmes que l’on n’a pas versées ?
La question n’aurait pas dû concerner Anne Guillaume, la jeune fille charmante devenue la femme attirante que le temps, jusque-là, n’avait pas égratignée.
Une brillante carrière d’avocate d’affaires internationales ; puis la rencontre de Julien Fraysse. Une existence qui revêt tous les habits du bonheur : la vie dans un Extrême-Orient coloré et épicé ; puis l’Australie en forme d’Eden offert aux arrivants.
Les larmes que l’on n’a pas versées ? Comme souvent, la voie de l’insouciance heureuse longe, sans inspirer de méfiance, le chemin des plus lourds nuages ; jusqu’au croisement où se révèlent les destins.
Anne et Julien vont être pris dans le tourbillon de trois mondes : ceux des affaires politiques et du commerce international des armes, et celui de la Justice lorsqu’elle décide de voir clair dans les deux premiers milieux. Il en résulte un mélange aussi instable que dangereux.
Poétesse depuis toujours, l’écriture est sa respiration. Elle a peu à peu intégré les milieux littéraires et les itinéraires d’artistes pour des performances poétiques où sa sensibilité peut éclore librement.
« La rage du peuple et sa beauté » Yil Édtions
Le poète est un questionneur : en interrogeant la douceur il pose aussi des mots qui font réfléchir… Tant dans ses ressors sombres que lumineux, l’auteur défend ici une unique cause, celle de la vie ; et espère dompter ne serait-ce qu’une minute la fureur du monde.
Grand amateur de littérature classique et moderne, il a déjà publié un grand nombre de livres dont la plupart sont à caractère historique
« Voyages au-delà des couleurs et des mots »
Bel ouvrage à quatre mains invitant au voyage et au rêve édité par le photographe Yves Phelippoten collaboration avec le poète Jacques Berlioz Curlet :
Le livre se propose de créer un dialogue riche de perspectives entre la musicalité de la langue poétique et celle du langage des images. Toujours ouvrir, toujours susciter des convergences entre les différentes formes d’expression artistique, échanger puis rebondir sur les chemins que seul l’Art peut révéler.
Passionné par l’écriture depuis longtemps, et après une carrière internationale dans une banque de financement, il écrit de nombreux livres de sciences fiction qui remporte un important succès auprès des connaisseurs cette littérature ou l’imaginaire s’associe à la science.
« Wormhole » Annaeditions
Le sort en est jeté. Exoone est parti vers une destination inconnue, malgré les efforts du COL pour suspendre le compte à rebours. Tatiana et son équipe d’intervention n’ont pu échapper à cette fatalité. La jeune physicienne constate que personnes et événements sont souvent très différents de ce qu’elle avait rêvé. Mais son « Interlocuteur » est bien là. Il se rappelle à elle tantôt avec une voix synthétique masculine, tantôt avec une vraie voix de femme. Quel sort réserve-t-il au genre humain, condamné à une prochaine disparition sur une planète bientôt stérile ? Pourquoi refuse-t-il aux humains de quitter le système solaire ? Et quelle est donc cette terrible mission qu’il réserve à Tatiana ? Sauvera-t-elle la Terre et l’Homme ?
Les artistes sont des partenaires indispensables pour le festival. Ils sont chaque année, nombreux, issus de domaines très différents. Ils ont tous la mission magnifique de faire naitre l’émotion, de transcender la réalité et de faire entendre les beautés du monde
Les crayons affûtés par des années d’architecture, il aime découvrir le monde un carnet à la main. Celui-ci devient un lien et un moyen d’échange avec les gens croisés sur la route. Les carnets sont publiés, fidèles aux originaux, avec la spontanéité du récit et des illustrations qui séduisent ses fidèles lecteurs.
« Carnet de route : Ouzbékistan et Tadjiskan » Bleu Éditions
Peintre et écrivain voyageur, il explore l’autre visage du monde : Inde, Chine et Cambodge.. Il accompagne ses textes de magnifiques peintures à l’encre sépia. On retrouve ainsi sa philosophie du voyage et son empathie pour les peuples qu’il rencontre.
Le voyage fait partie de sa vie depuis longtemps. L’Asie, celle des mégalopoles comme celle des campagnes reculées, l’attire particulièrement. L’illustrateur voyageur aime plus que tous ces gens du quotidien croisés au « hasard des rencontres » où il se laisse porter par le voyage. Ses carnets de voyages sont superbes et plusieurs fois primés.
« Japon à pied sous les volcans » Éditions Hong Fei
Passionné par le dessin, il entreprend des études graphiques. Depuis plusieurs années, sa passion du voyage se conjugue avec son travail d’illustrateur pour créer une belle collection de carnets de voyages Son dessin, joyeux et très coloré, en rend la lecture très agréable.
« Voyages en Italie » Éditions du chardon migrateur
Docteur en littérature, linguiste et peintre. Elle pratique l’art abstrait et celui de l’improvisation picturale. Elle est aussi auteur de pièces de théâtre de longs métrages, de nouvelles et de romans.
« Nous sommes les ancêtres de ceux qui ne sont pas encore nés » Autoédition
Artiste photographe, formée au photojournalisme, elle pratique une photographie documentaire et humaniste. .Elle s’intéresse à la transmission des savoirs et au quotidien des gens.
Elle nous présente son livre sur le safran « l’épice de la lumière » son histoire, sa culture et son utilisation.
Influencé par son pays natal la Belgique, tout l’inspire : l’amour, les voyages, la maladie, les rencontres. Il acquiert sa formation artistique à l’’institut Saint-Luc à Bruxelles, Après un long voyage en Amérique du Sud, il décide de le retranscrire en BD sous le titre :
« Les Lambert en voyage ». Éditions des ronds dans l’O
Artiste aux multiples talents, elle aime, pratiquer l’improvisation picturale. Durant tout le festival, elle invite le public à suivre sa création de peinture sur mur. Il s’agira de calligraphier une phrase extraite du livre de David Sarnac « Rejoindre les archipels». Funambule du trait, le calligraphe fait apparaître des signes et des traces issues de diverses cultures. Le public du festival pourra ainsi, en direct, assister à cette performance graphique et artistique. (Nirina sera aidée dans sa tâche par sa sœur Héloïse).
Artiste aux multiples talents, elle adore détourner les objets et leur donner une seconde vie. Adepte de la « récup » et de l’imagination créative, elle présentera une exposition de masques afro-burlesques et animera de nombreux ateliers artistiques durant le festival.