Itinérances littéraires

Itinérances littéraires

La littérature est un chemin, une itinérance des mots dans l’imaginaire, le vécu, les savoirs des écrivains.

Le lecteur se nourrit de ces itinérances littéraires afin de suivre son propre chemin.

Catherine Goulletquer
                      

Catherine Goulletquer

Journaliste, enseignante et formatrice, elle est l’auteure d’une douzaine d’ouvrages individuels, auxquels s’ajoutent des œuvres collectives. Sa production est marquée par ses connaissances pluridisciplinaires : histoire, anthropologie, psychanalyse, politique étrangère.

La croix d'Orient

       « La Croix d’orient » Dacres Éditions

Bio – Biblio   ICI 

Retrouvez- la pour une projection le dimanche 3 octobre à 13h30  : Le fabuleux destin de l’écriture

Evelyne Néron Morgat

Évelyne Morgat

Petite-fille d’ostréiculteur et femme de marin-pêcheur, Évelyne Morgat  partage dans ses livres ces traditions maritimes. Elle se consacre, depuis plusieurs  années, à la valorisation d’un domaine ostréicole ancestral, modelé par la mer et la sueur des hommes, pour lui redonner l’âme qu’il avait autrefois.

A-la-vie-à-la-mer

    «  A la vie à la mer »  Éditions Gabelire

Bio – Biblio  ICI

Retrouvez-la pour une rencontre littéraire le dimanche 3 octobre à 17h15 : La mer, un personnage de roman

Sébastien Delicque

     Sébastien Deledicque

Arabisant, il part au Yémen pour y rédiger une maîtrise sur la littérature yéménite. Séduit par le pays, il devient responsable culturel français à Aden. Il doit quitter le pays après le début de la terrible guerre qui se continue aujourd’hui. Il se consacre à l’écriture littéraire et à son attachement au peuple yéménite.

Sur mer et sur terre

« Sur mer et terre » Éditions 5 Sens

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Retrouvez-le pour une rencontre littéraire le samedi 2 octobre à 17h45 : Le golfe d’Aden, sur mer et sur terre

Alain Persuy

Alain Persuy

Enseignant en écologie forestière à l’Université, conseiller scientifique,  et conférencier, il est membre du Directoire  des forêts et  administrateur de nombreuses ONG nationales concernées par l’écologie et la biodiversité.

« Comment sauver les forêts petit manuel de résistance citoyenne » Éditions Double Ponctuation

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Retrouvez-le pour une grande conférence samedi 2 octobre à 10h : Pourquoi faut-il aimer … et défendre les forêts du monde ?

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Eddy L. Harris

Invité d'honneur Eddy L.Harris

Invité d’honneur de notre festival  Eddy L. Harris  

 

Eddy L. Harris Invité d'honneur

Écrivain et cinéaste, il voyage sur les lieux où s’est reconstruite la diaspora noire. Né aux USA dans le Missouri, il évoque dans ses livres, l’histoire des noirs américains, de l’esclavage jusqu’à son abolition, de la ségrégation à la pleine jouissance des droits civiques, du rejet jusqu’à l’intégration. Il a, en tête, d’autres chemins, que les hommes parcourent pour construire leur vie, dont il voudra être le témoin. Il suit, entre autres,  le parcours de l’Old Man River, le Mississippi et le retranscrit avec une plume brillante et incisive. 

        « Mississipi solo »  Éditions Liana Levi

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Retrouvez-le pour une rencontre littéraire le dimanche 3 octobre à 15h : Vers le mythique fleuve Mississipi

Interview dans Sud-Ouest du vendredi 20 août 2021  Eddy L.Harris « Mon monde: c’est Pranzac

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Publication de la nouvelle gagnante

La nouvelle gagnante

Le jury s’est réuni vendredi 25 juin et a choisi la nouvelle gagnante pour cette édition 2021.  .

9 nouvelles ont été les plus citées par le jury (ordre de préférence du jury) :

  • Un des Estables
  • Voyage en eau lourde
  • L’héritage de Juliette
  • VIT
  • Les enfants de l’itinérance
  • Terre promise
  • Un saxo sous la lune
  • En coulisse
  • :Départ

Mais une nouvelle est ressortie des délibérations du jury qui attribue  le premier prix à

 « De mes yeux ».

de Aurélia LESBROS domiciliée à Cabestany dans les Pyrénées-Orientales.

Bravo à notre lauréate de notre concours de nouvelles édition 2021 !!!

De mes yeux

Postée aux premières loges, je bois de mes yeux trop secs le spectacle de la rue. J’admire, contemple, me désole ; je m’enivre d’elle, de son nectar, ses travers, des exhalaisons du pavé. Je scrute les hommes, sonde les âmes, analyse leurs variations de lumière, leurs clairs-obscurs. J’observe les humiliations des uns, le vide des autres, mais je m’abreuve aussi parfois, de quelques moments de grâce. Et puis j’ai un pouvoir : je vois les gens comme personne. Ce don, c’est grâce à lui ! Il m’a appris à regarder, à saisir, à presque tout cueillir avec mes yeux…

La nuit, je ne sens pas le froid. Le matin, les odeurs de camions-poubelles ne me gênent pas. Je trouve même un air romantique à leurs visages d’ogres quand ils passent devant les abribus aux affiches tapageuses. La porte cochère où je me réfugie trop souvent malgré moi, sent l’urine et l’adultère, la violence et le mauvais vin, l’attente inexorable.

Notre position stratégique me permet d’observer les files de voitures interminables et tous ces gens pressés, par obligation ou juste par principe. Coincés dans des embouteillages aux aspects de dominos, ils transpirent l’urgence. Certains, se pensent à l’abri des regards et se grattent grossièrement des tas de parties du corps. Certaines se remaquillent déjà, alors qu’il n’est pas neuf heures. D’autres chantent faux, à contretemps, prenant le volant pour un instrument de percussion. Il y a aussi ceux qui téléphonent, ceux qui rêvassent, qui doutent, et d’autres, aux mines satisfaites, aux sourires de vie réussie.

Mon homme a l’œil franc mais fatigué, la main tremblante d’avoir trop espéré, et des jambes presque aussi raides que les miennes. Avec sa calvitie de tracas plus que de génétique, il se farde de patience, s’arme de bonne humeur, meilleur rempart à la morosité des autres. Il esquisse des sourires sincères au rythme de bottes lentes, talons pressés, petits pas de ballerines. J’ai toujours trouvé qu’une cadence sur un macadam, un choix de chaussures, en disent long sur la personnalité des gens… C’est d’ailleurs comme ça que je scanne âmes et desseins.

Pas loin de chez mon homme, il y a un vieux photomaton qui enregistre et qui comme moi, voit plus que tout ce que l’on peut imaginer : bouches grimées de conventions, doigts maquillés de promesses par un anneau devenu trop lourd, étreintes forcées. La vérité laisse toujours une trace d’elle quelque part.

J’aime vivre près de mon homme. Je le suis partout, dans chacune de nos errances. Nous avons lié nos itinéraires de vie. Notre relation est unique. Elle n’a pas besoin de mots.

Lui, est d’ailleurs bouleversant par tout ce qu’il ne dit pas. Il s’est accommodé de la solitude, l’a même apprivoisée. Sa vie singulière n’a la couleur de rien ni de personne. Moi, je suis sa paire, il est la mienne. On se suffit à l’autre. La vie ne lui a pas permis de pouvoir prendre soin de sa personne ; il n’a jamais eu l’occasion de récupérer ce que la dignité lui a ôté, alors il s’est payé le plus grand, le plus cher, le plus inestimable des luxes, dans un flacon de bohème : la liberté !

Je suis fatiguée de nos déplacements. La ville me frustre. Lui et moi, rêvons désormais campagne et clochers, places de villages, vieux alignés sur des bancs avec liseré d’enfance dans la pupille. On veut s’offrir du vert, du large, du sable picoré par un océan moutonneux. On commence à se lasser de ce champ de parapluies, des forêts de néons, de ce jardin de pots d’échappement. Nous espérons partir bientôt. La liberté peut être encore plus libre.

Chaque jour, mon homme me sublime, me rend belle et poétique pendant une heure et demi, moi qui suis pourtant petite et limitée. C’est un manipulateur digne de ce nom ! Selon la saison, face à des groupes clairsemés drapés de critiques ou aux armées de touristes tatoués de coups de soleil, il lutte, exhibe, régale. Grâce à lui, je ne commets aucun faux pas. Il me maîtrise, me contrôle. Pour lui, je me meus corps et âme, me plie au moindre désir de son imagination. Il me saupoudre de fantaisie et tel un prestidigitateur, il me prête du prestige. Après la liesse, quand tout retombe, je me repose enfin. Je cesse de m’agiter dans tous les sens. J’aime voir la lune se coucher dans son crépuscule et éteindre son sourire quand elle seule l’a décidé. Toutes les nuits, après ce spectacle si beau et naturel, je compte les moutons, les étoiles, les néons.

Ce jour-là, ou plutôt cette fin de soirée-là, j’ai scruté la foule plus que de coutume. J’ai vu des curieux, des extravagants, des attentifs. J’ai croisé des petits avec des yeux trop grands, des grands avec des cœurs trop petits. J’ai observé les couples sereins, amoureux, en baskets neuves, les femmes trompées aux bottes abîmées, les maris aigris aux chaussures mal choisies, les fatigués aux semelles usées, les fortes têtes aux talons-aiguilles sans concessions. Ça marche tout le temps et dans tous les sens ! J’ai recensé quelques grabataires que plus rien n’enthousiasme, quelques blasés que plus rien ne réchauffe ; la vie, sa banalité, son ennui. J’ai aussi entraperçu le mépris et l’indifférence. Je ne sais pas au fond ce qui me dérange le plus, car mes yeux se plissent automatiquement sous ce type de lumière.

Dans mon radar à hauteur de pieds, je n’ai pas non plus de capteurs à indécence et perversité, couleurs qui me sont inconcevables. Je n’ai pas vu l’ombre se glisser dans ma rue, notre rue. Je n’ai pas senti le relent du vice. Mon flair a failli, ma vue a baissé, en même temps que la lumière du jour. La rue ne s’était jamais mise entre nous jusqu’à lors ; et elle

n’avait jamais gâté mon pouvoir en mettant sur ma route des âmes vides aux chaussures creuses.

La nuit venue, mon homme s’est endormi tôt, presque apaisé, dans le calme d’une rue aux passants envolés. Quelques gouttes de pluie faisaient un clapotis musical, petite symphonie improvisée de claquettes et xylophone près de ma plaque d’égout. Comme souvent, mon homme n’a pas fait attention à mon bras qui traînait sur la grille, salissant ma manche. Il devait être deux heures passé.

À l’angle, j’ai aperçu un individu, grand, fin, manteau gris assorti à un visage de brouillard. Sa figure de brume s’est rapprochée, en même temps qu’une drôle d’odeur de folie. Il s’est arrêté sous notre porte. À cette heure-ci, plus personne ne donne d’argent bien sûr… Pourtant, il a bien enfoui sa main dans une large poche, prêt à dégainer quelques restes de pièces de compassion. Grand être aux cheveux noirs, regard plus froid qu’un tombeau qui semble fissuré de haut en bas par une colère gratuite. Sa démarche a la fragilité d’une quille, ses chaussures sont comme invisibles, fondues dans le pavé ; un homme sans pieds, un cœur sans horloge, une tête sans rêves.

Soudain, c’est en plein cœur que ce dernier frappe, sans ciller, avec la précision d’un mathématicien et un sadisme chirurgical, prêt à tout déchiqueter : une âme de boucher couplée à la force d’un haltérophile ! Mon bel homme endormi n’avait aucune chance… Trois coups de poignards secs, comme trois coups de bâton au théâtre, annonçant une tragédie cruelle. La mort, dans son costume sur mesure de passager clandestin, qui utilise ses passe-droits, sans scrupules, sans chercher à se justifier.

J’ai été éclaboussée d’un sang aussi vermeil que notre passion, aussi pur que le cœur de mon homme. C’était sa dernière errance. Autour de notre bulle, quelques néons cassés clignotent comme un adieu sous les projecteurs. La bruine chaude pose ses lèvres douces et humides sur la peau de mon homme… Ses gouttes de sang s’égrainent telle une clepsydre : des points de suspension à une existence en marge… Tout excès lacrymal m’étant interdit, le ciel compatissant pleure à ma place.

Nous sommes morts cette nuit-là, près d’une rose blanche abîmée, tombée d’un bouquet trop cher et sans sincérité : lui, boule de douceur et bonté, recroquevillé sur le pavé de la porte cochère, et moi, témoin, impuissant et silencieux, du crime sans mobile de mon pauvre marionnettiste.Facebooktwitter

Festival 2021 : Itinérances

ITINÉRANCES

Les 1 / 2 / 3 Octobre 2021

                    « Il n’y a pas de chemin, le chemin se fait en marchant » Antonio Machado

Toute l’histoire des humains montre la continuité du phénomène de mobilité, locale ou lointaine, et de construction de nouveaux itinéraires de vie :

*Mobilité entre villes et campagne et exode rural, expulsions et conversions forcées, expansion vers de nouveaux mondes avec des départs massifs.

*La peur, l’indigence, la guerre, la misère et l’espoir d’une vie meilleure, ont toujours été d’importants facteurs de mobilité. Le départ est alors volontaire ou forcé, exil, exclusion, déportation, migration.

*Fondation des colonies, grandes découvertes, création de nouvelles routes commerciales

*Choix du nomadisme pour des raisons spirituelles, économiques ou culturelles

Toutefois,  au cours des siècles, la sédentarité sera définie comme la norme, plaçant ainsi les populations mobiles aux marges de la société. Aujourd’hui, il est largement reconnu qu’aucune société n’est purement sédentaire, pas plus notre société industrielle que les sociétés anciennes !

nomade Mongolie

Comme le monde moderne est maintenant devenu largement transnational, la notion de nomadisme évolue. La figure du nomade est une figure identitaire, quel que soit le nom qu’on lui donne, réfugié, migrant, apatride, vagabond, personne déplacée ainsi que ceux qui voyagent  et vivent successivement dans différents pays. Bien sûr, ces “nomades” contemporains peuvent  encore déclencher des peurs chez les sédentaires, mais le monde  d’aujourd’hui, ouvert et interconnecté, s’adapte très bien à la discontinuité territoriale et à l’itinérance.

Aujourd’hui, l’itinérance met en avant la richesse des rencontres plus que la traversée des nations et de leurs frontières. Elle est aussi au cœur de nombreuses démarches artistiques contemporaines et de la prise de conscience que les problématiques environnementales doivent être traitées à l’échelle planétaire !

Nous sommes dans l’itinérance. Nous ne sommes pas en marche sur un chemin balisé, nous ne sommes plus téléguidés par la loi du progrès. L’itinérance se nourrit d’espérance et elle est, plus que jamais, indissociable du destin de notre planète.

Il nous faudra toujours, chercher, découvrir, résister, inventer et aimer…

nuage de mots

Nota bene

Pour cause de  crise sanitaire, le  festival de Thénac qui devait se dérouler les 26-27-28 mars 2021 a été déprogrammé. Nous proposons, les 1/2/3 octobre 2021,  un festival dans une version allégée. Nous avons tenu à respecter la structure qui  fait le succès du festival, avec les points forts que sont les conférences, les projections de films documentaires, les rencontres littéraires et les animations jeunesse.      

   Le pass sanitaire est OBLIGATOIRE durant le festival, à savoir :

a. Posséder un schéma vaccinal complet (c’est-à-dire avoir reçu sa seconde dose au minimum 7 jours avant l’événement)

b. Posséder un test PCR négatif de moins de 72 heures,

c. Posséder un résultat de test PCR ou antigénique positif attestant du rétablissement de la Covid-19,

datant d’au moins 11 jours et de moins de 6 mois.

Un contrôle systématique sera fait à l’entrée .

L’accès au festival sera refusé sans pass sanitaire.

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Réservations FESTIVAL ÉVASION

Réservations REGARDS DE CINÉASTES

 

► vendredi 4 octobre et samedi 5 octobre – Salle Hélène Neveur

PASS DEUX FILMS   MAMODY le dernier creuseur de baobabs et AU PAYS DES BRUMES

►vendredi 04 octobre – 20h 30 – Salle Hélène Neveur- Thénac

MAMODY le dernier creuseur de baobabs

Projection en présence de son réalisateur,
Cyrille Cornu

RÉSERVATIONS PAR CB UNIQUEMENT

Entrée 8 euros /  4 euros pour enfants – 12 ans

Renseignements au 05 46 92 68 57 ou assoclep2l@gmail.com

►samedi 05 octobre – 21h – Salle Hélène Neveur- Thénac

AU PAYS DES BRUMES


En  présence de leurs réalisateurs Sophie Planque et Jérémy Vaugeois

RÉSERVATIONS PAR CB UNIQUEMENT 

Entrée 8 euros /  4 euros pour enfants – 12 ans

Renseignements au 05 46 92 68 57 ou assoclep2l@gmail.com

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Jérémy Vaugeois

Jérémy Vaugeois portrait
Jérémy Vaugeois

 

BIOGRAPHIE 

Depuis 2007, j’entreprends des aventures aux quatre coins du monde. Des plus spontanées aux expéditions nécessitant plusieurs mois, voire années de préparations. Cela représente aujourd’hui plus de 70.000km à pied, à vélo et à ski que j’ai parcouru ces quinze dernières années autour de la planète.

Après une formation en école de management, je décide de poursuivre mon cursus par une école de la vie qui s’inspire de nombreuses lectures & autres récits de voyages (Bouvier, Saint-Exupéry, Kerouac, London, Thoreau, Tesson, etc). J’ai dix-neuf ans quand je marche deux années à travers l’Europe jusqu’au portes du Moyen-Orient à la rencontre des cultures qui donnent ce visage cosmopolite au vieux continent. 

Dès 2012, j’enfourche un vélo pour traverser la France de long en large avant de me lancer dans un tour de la Nouvelle-Zélande en 2013. De fil en aiguille, mon parcours professionnel se stabilise dans les Alpes françaises où je m’établis pour parfaire aussi mes connaissances et pratiques de la montagne (ski alpinisme, randonnée, trail running). C’est ici que je rencontre ma compagne qui deviendra aussi ma co-équipière, Sophie Planque. Ensemble nous montons une expédition qui s’avèrera être décisive pour tous les deux.

J’effectue en duo donc, entre 2017 et 2019, une traversée intégrale du continent américain à vélo. Deux ans et demi et 30.000km sur la Continental Divide. Expérience que je partage via le film multi-primé Alaska Patagonie, la grande traversée (52min USHUAIA TV, EKLA production). L’occasion de la diffusion de ce film en festival international me donne la chance de prendre la parole en public et de partager mes expériences et connaissances du monde. Dès lors, je commence un parcours de conférencier en France et à l’étranger.

Entre 2022 et 2023, j’entreprends une nouvelle aventure avec Sophie Planque (devenue membre de la prestigieuse société des explorateurs français). Le projet Aux pays des brumes nous emmène à travers un hiver entier en autonomie et à vélo, autour de la mer baltique, à la découverte des cultures ancestrales baltes. 

Retrouvez le pour 

Regards de cinéastes le samedi 5 octobre à 21h ► Sophie Planque et Jérémy Vaugeois Au Pays des Brumes

Infos sur  Regards de cinéastes

FILMOGRAPHIE

 « Alaska Patagonie: La Grande Traversée », 9 prix en festivals.

« Aux pays des brumes »,  divers prix dont

  • CURIEUX VOYAGEURS DE SAINT-ETIENNE

    MENTION SPÉCIALE DU JURY

  • RDV DE L’AVENTURE DE LONS LE SAUNIER

    GRAND PRIX FRANÇOIS BEL – INSTITUT DE FRANCE

 

BIBLIOGRAPHIE 

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Ticia

Ticia
Ô toit rouge

 

BIOGRAPHIE 

Conteuse/comédienne:

Stages auprès de Francois Vermel, Pascal Quéré, comédie conservatoire Lorient, stages école internationale du mîme Paris

Actrice/Marionnettiste :  formation professionnelle au théâtre aux Mains nues Paris

Danseuse/Chorégraphe: Diplômée de l’école Irène Popard

Diplômée des ballets jazz S. Alzetta/

Diplômée professeur en danses latines, standards et rock par l’association des Maîtres de danse Français.

Tronc commun  anatomie/physiologie 1er degré

Interprète dans de nombreux shows jazz, danses latines et festivals (Nice, Bourges, Paris, Lorient, Tours…) Défilé de mode, spectacle de rue, spectacles amateurs et professionnels de danse,

show danses latines/festival de Bourges.

Professeur jazz invité à Strasbourg, Paris au congrès des Maîtres de Danses français. 

Préparation aux auditions pour entrée en école professionnelle jazz

Elle a créé Ô Toit Rouge , Le petit théâtre en mouvement, un concept unique en France.
Un lieu de spectacle autour des conte
et des histoires de Ticia!

Ô toit rouge

 

C’est le seul lieu de théâtre itinérant aménagé dans une tiny house qui
propose le confort de gradins pour le public, le noir complet, des projecteurs pour une
ambiance théâtrale, un castelet pour marionnettes et le bien-être d’une climatisation.

Elle conte, mîme, chante, interprète, manipule ses marionnettes et s’accompagne d’un instrument de musique.

Retrouvez la pour son

Animation le samedi 5 octobre et le dimanche 6 octobre de 14h30 à 18 h ► Ticia  Liberté Poulailler Fraternité    –  Sur les ailes du conte

Infos sur Les animations jeunesse 

Retrouvez Ticia sur 

         

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Aude Samama

Aude Samama

 

BIOGRAPHIE 

Auteure de bande dessinée et illustratrice française, passée par l’École européenne supérieure de l’image d’Angoulême,  . Elle a la particularité de ne travailler qu’en peinture, dans un style rappelant aussi bien l’expressionnisme que la bande dessinée picturale de Lorenzo Mattotti ou Alberto Breccia.

Aude Samama a réalisé en collaboration avec Cyril Herry la bande dessinée « La Meute » pour Futuropolis, elle a déjà publié plusieurs albums chez cet éditeur en collaboration avec Denis Lapière. Elle réalise également des illustrations pour des romans et des revues. Son travail se situe aux frontières de la peinture expressionniste et de la bande dessinée, s’attachant particulièrement à restituer les émotions des personnages aux destins souvent tragiques. 

Elle donne des cours de modèle vivant à la Human Academy depuis plusieurs années.

Retrouvez la pour un

Atelier le dimanche 6 octobre de 14 h à 15h30 ► Aude Samama  Portraits et/ou autoportraits en couleurs

Infos sur Les ateliers

BIBLIOGRAPHIE

Bandes Dessinées

La Meute, scénario de Cyril Herry, éd Futuropolis, 2023.

Trois fois dès l’aube, adaptation du roman d’Alessandro Baricco, scénario de Denis Lapière, éd. Futuropolis, 2018.

Martin Eden, adaptation du roman de Jack London, scénario de Denis Lapière, éd. Futuropolis, 2016.

A l’ombre de la gloire, scénario de Denis Lapière, éd. Futuropolis, 2012.

 Amato, scénario de Denis Lapière, éd. Futuropolis, 2009.

 L’intrusion, éd. Rackam / Le signe noir, 2008.

 Amalia Rodrigues, éd. Nocturne, 2007 (BD World).

 Bessie Smith, éd. Nocturne, 2006 (BD Jazz).

 En série, éd. Frémok, 2002.

Revue

 Le troisième homme, revue Bang ! , 2004.

Illustrations jeunesse

Une princesse juive au Far West, Lior édition, 2019.

Le perroquet juif, Lior édition, 2014.

La case de l’oncle Tom, éd. P’tit Glénat, 2012.

Pasteur, voir l’invisible, éd. Seuil jeunesse, 2007.

Vous pouvez retrouver Aude sur :

   

 

 

 

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