Jacky Jousson est illustrateur, il pratique l’ illustration traditionnelle et infographique pour l’édition, la presse et la publicité,membre de la Société Française d’illustration Botanique. Il est l’auteur de nombreux ouvrages relatifs aux plantes mais aussi de livres pour enfants.
BIBLIOGRAPHIE
Les plantes du chaos. Et si les pestes végétales étaient des alliées ?
Le chemin des herbes. Du Midi à l’Atlantique, identifier et utiliser 80 plantes sauvages médicinales, alimentaires, tinctorialesThierry Thévenin, Cédric Perraudeau, Jacky Jousson Louisa Jones (Préfacier)ULMER PARU LE : 04/04/2019
Olivier Ginestet est né à Saint-Martin-d’Hères, dans la banlieue de Grenoble, le 6 juillet 1977. Dès le mois de septembre suivant, ses parents déménagent à Royan. Il y vit jusqu’à 25 ans avant de s’installer à La Rochelle.
À 16 ans, il quitte l’école pour entrer dans la vie active. Victime d’un accident de moto, il est hospitalisé plusieurs semaines et découvre les plaisirs de la lecture au cours de sa longue rééducation. Jeune homme engagé, il s’intéresse d’abord aux documentaires historiques et politiques.
Sa nouvelle passion l’encourage à reprendre des études. Il passe l’équivalent du baccalauréat grâce à des cours par correspondance puis enchaîne un DEUG, une licence et un master d’histoire contemporaine. Étudiant salarié, il occupe des emplois précaires avant de devenir bibliothécaire du conservatoire de musique et de danse de La Rochelle en 2004.
En 2006, il publie son premier livre, une biographie consacrée à Emile Combes, l’un des pères de la Séparation des Eglises et de l’Etat en France. Ce premier ouvrage est qualifié par Vincent Peillon, ancien ministre de l’Education nationale, de « joli et vif petit livre ». Les éditions La Geste lui commandent ensuite un ouvrage sur le précurseur de l’écologie urbaine, Michel Crépeau.
En 2014, il participe à l’ouvrage dirigé par Olivier Lebleu, « Maires courage de La Rochelle », dont les droits d’auteur sont reversés à la municipalité de La Rochelle, geste symbolique après l’incendie de l’Hôtel de ville.
En 2010, Olivier Ginestet écrit un conte pour enfants, « Lucas et la forêt des loups ». Mis en musique par Laurent Jacquier, le conte est créé par Jean-Louis Foulquier et l’Orchestre d’Harmonie de la Ville de La Rochelle en 2012. Depuis, « Lucas et la forêt des loups » est régulièrement joué par d’autres orchestres, comme en 2015 par la Philhar de Nantes.
Le succès de cette expérience l’encourage à écrire d’autres contes : « Le Monde de Lucas Zomb » en 2014, et « Alice l’étrangère » en 2018.
Olivier Ginestet est également l’auteur des romans « Le Pont » et « Un Couple ». Ces livres évoquent deux histoires différentes mais possèdent de nombreux points communs. Les prénoms des personnages principaux (Lucas et Sandrine), la ville de La Rochelle comme toile de fond, un héros désabusé, l’addiction à l’alcool, l’importance des livres et de la musique ou encore le rejet de l’autorité religieuse sont des thèmes récurrents dans les deux romans.
En 2016, Olivier Ginestet crée les éditions Amok, dont le nom référence au roman court de Stefan Zweig, Amok ou le fou de Malaisie. Maison d’édition indépendante spécialisée dans la publication de textes courts, Amok publie Olivier Lebleu, Isabelle Flamand, François Varay, Jean-Paul Rigaud, Jacques Buisson, Aileen L. Munroe, Aymeric du Riez et Lee-Ann d’Alexandry. Amok est également connu pour avoir publié un recueil de textes inédits de Joseph Kessel sur la Première Guerre mondiale, repris par Gallimard dans la collection Folio en 2018.
BIBLIOGRAPHIE
Emile Combes, La Geste, 2006
Michel Crépeau, préface Vincent Peillon, La Geste, 2008
Lucas et la forêt des loups, conte pour enfants, musique Laurent Jacquier, création Jean-Louis Foulquier, OHVLR, 2012
Le Maire novateur, in Maires courage de La Rochelle (dir. Olivier Lebleu), Le Croît vif, 2014
Rochelle, in Ces Charentes auxquelles on s’attache (collectif), Le Croît vif, 2014
Le Monde de Lucas Zomb, conte pour enfants, création Conservatoire de La Rochelle, 2014
Le Pont, Amok, 2017 (première édition 2014)
Un Couple, Amok, 2017
Alice l’étrangère, conte pour enfants, création C d’Accord sous le nom Etrange étrangère, 2018
Après une maîtrise de lettres à la Sorbonne, de sciences politiques à Paris et l’IUT de journalisme à Bordeaux, Christophe Dabitch devient journaliste indépendant en presse écrite et audiovisuelle. Il collabore notamment avec Sud Ouest et La Nouvelle République, France 3 et plusieurs publications (Le Festin, Le Passant ordinaire, le Monde diplomatique, Passages, La Lunette…). Critique littéraire pour Le Matricule des anges, il anime aussi des rencontres littéraires et des ateliers d’écritures. Il réalise des documentaires et des magazines pour la télévision (Dabic et Dabitch, un cousin serbe pour ARTE, Les gens des charrettes, Le Dernier exil pour France 3…)
Il a écrit plusieurs récits historiques, il a participé à un ouvrage collectif, Journalistes précaires, sous la direction du sociologue Alain Accardo, à la traduction d’un livre du philosophe des sciences canadien Ian Hacking, co-dirigé une anthologie de textes, Patrick Espagnet, l’ébranleur des zincs de marbre (éditons Le Castor astral).
Il est l’auteur de récits de voyage en compagnie de dessinateurs et de photographes, notamment Voyages aux pays des Serbes (éditions Autrement) avec le dessinateur David Prudhomme, Les autres, balade araméenne, avec le photographe Christophe Goussard, (éditions Filigranes) ou encore L’adieu au fleuve (éditions Filigranes).
Il écrit des scénarios de bandes dessinées publiées aux éditions Futuropolis, notamment Abdallahi et Jéronimus avec Jean-Denis Pendanx, et La Ligne de fuite et Mauvais garçons avec Benjamin Flao, La Colonne avec Nicolas Dumontheuil et Le Captivé avec Christian Durieux. Il a également écrit deux livres avec deux collectifs de dessinateurs : Immigrants et Être là, avec Amnesty International (éditions Futuropolis).
Il a également co-organisé à Bordeaux, avec Delphine Leccas et Christophe Goussard, en 2015, un festival consacrés aux artistes syriens: L’art en marche, artistes syriens d’aujourd’hui.
BIBLIOGRAPHIE
Source Wikipédia
Récits
Azimut brutal, (Traversée d’un paysage en ligne droite le long du 45° Parallèle nord, en Dordogne). éd. Signes et balises, 2018.
L’Adieu au fleuve, avec le photographe Christophe Goussard (Itinéraire intime sur les rives de l’estuaire de la Gironde, de Royan à Bordeaux, une rive en images, une rive en textes). éd. Filigranes, 2015.
Le Corps juste, Hamid Ben Mahi / Alain Bashung, avec le photographe Christophe Goussard (Evocation du travail du chorégraphe hip-hop Hamid Ben Mahi autour de la figure d’Alain Bashung). éd. Filigranes, 2013.
Les Autres, balade araméenne, avec le photographe Christophe Goussard (Récit documentaire et fictionnel en Syrie, avant la guerre, dans le village de Maaloula). éd. Filigranes, 2009.
Les Capucins, géographie du ventre, avec les dessinateurs et photographe Cromwell, Dumontheuil, Escher, Esparbet, Moynot, Pendanx, Prudhomme, Witko. (Approches multiples d’un quartier bordelais, au croisement de nombreuses histoires). éd. Le Cycliste, 2005, rééd. en 2014.
Lendemains, avec le photographe Grégory Valton (Préface à un travail photographique mené en Serbie). Poursuite éditions, 2005.
Le Tramway de Bordeaux : une histoire. éd. Sud-Ouest, 2004.
Voyages aux pays des Serbes, en collaboration avec le dessinateur David Prudhomme (Récit de voyage en Serbie, du nord au sud et au hasard des routes, dix ans après un documentaire réalisé dans ce pays durant les guerres yougoslaves). éd. Autrement, 2003.
Journalistes précaires, collectif, sous la direction du sociologue Alain Accardo (Travail d’entretiens autour de la précarité et ses conséquences dans le milieu journalistique). éd. Le Mascaret 1998 puis rééd. Agone, 2007.
Les Cinquante Otages : un assassinat politique (Récit de l’assassinat d’otages à Bordeaux, à la suite de ceux Chateaubriand, par l’occupant nazi en 1941). éd. CMD, 1999.
L’Âme réécrite, études sur la personnalité multiple et les sciences de la mémoire, du philosophe des sciences canadien Ian Hacking (co-traduction et réécriture). éd. Synthélabo, coll. « Les empêcheurs de tourner en rond », 1997.
Bandes dessinées
Mécaniques du fouet, Vies de Sainte Eugénie, avec Jorge Gonzàlez (dessin) (Portrait d’Eugénie Guillou, nonne qui devint spécialiste de la fessée et des mises en scènes sexuelles à Paris à la fin du xixe siècle). Futuropolis, 2019
Être là, avec Amnesty International, avec un collectif de dessinateurs : Zeina Abirached, Sergio Aquindo, Daniel Blancou, Christian Durieux, Manuele Fior, Benjamin Flao, Jorge Gonzalez, Piero Macola, Laureline Mattiussi, Jose Munoz, Gabrielle Piquet, Damien Roudeau, Michael Sterckeman, Guillaume Trouillard (Reportages graphiques dans différents pays – France, Allemagne, Angleterre, Grèce, Argentine, Cambodge, Liban – en écho au travail d’Amnesty International, rencontres avec des personnes se battant pour leurs droits). Futuropolis, 2014
Le Captivé, avec Christian Durieux (dessin) (L’histoire d’Albert Dadas, ouvrier du gaz à Bordeaux à la fin du xixe siècle, premier » fugueur pathologique » diagnostiqué au monde et de sa rencontre avec le psychiatre Philippe Tissié). Futuropolis, 2014.
Immigrants, avec un collectif de dessinateurs : Étienne Davodeau, Christian Durieux, Benjamin Flao, Manuele Fior, Christophe Gaultier, Simon Hureau, Étienne Le Roux, Krist Mirror, Jeff Pourquié, Diego Dona Solar, Troub’s, Sébastien Vassant, (Entretiens mis en dessins avec des personnes devenues Françaises ou en voie de l’être, à Blois, Bordeaux et Paris). Co-éd. Festival BDBoum Blois, Amnesty International, Festival Les Rendez-vous de l’histoire. Futuropolis, 2010.
Mauvais Garçons, avec Benjamin Flao (dessin), 2 tomes (Le portrait de Manuel et Benito dans le milieu du flamenco à Utrera, en Andalousie, avec les poèmes chantés, les Soleas, qui rythment la vie). Futuropolis, 2009
La Ligne de fuite, avec Benjamin Flao (dessin) (De Paris jusqu’en Éthiopie, un jeune poète auteur de faux poèmes de d’Arthur Rimbaud dans la revue Le Décadent a pour mission de ramener des vrais poèmes de celui qui a préféré se taire). Futuropolis, 2007
Le Jour où, collectif, contribution à un livre collectif avec Jean-Denis Pendanx, (Une histoire imaginaire sur la chute du Mur de Berlin, dans un mirador le jour où...). Futuropolis et France Info, 2007.
Passionnée par mon travail, les rencontres, le hasard de la vie, je suis riche d’une double formation (graphisme et d’architecture d’intérieure), ce qui constitue ma spécificité. J’aime à dire que je suis « graphiste pour l’espace ». Durant toutes ces années, je n’ai jamais cessé de dessiner. Je regarde ce que l’on ne voit plus. Je préserve ce qui est voué à disparaître. Je dessine pour témoigner. La poésie de l’ordinaire. Souhaitant retransmettre ce que j’ai eu la chance d’apprendre, j’enseigne dans des écoles supérieures et j’anime – parfois – des stages de dessin en voyage. En 2014, je publiais l’ouvrage « De baraque en baraque » (éd. la ville brûle), cinq fois primés. En 2018 est paru « Dans son jus – voyage sur les zincs » avec Patrick Bard aux Éditions Élytis, lui aussi primé par le Prix du Public à Clermont-Ferrand en 2016. Et en 2020, « 2054, voyage en transition » toujours aux éditions Élytis et « Je ne m’arrête jamais » aux éditions Sous la glycine.
Directeur de recherche à la Fondation nationale des sciences politiques depuis 2008, Romain Bertrand est diplômé de l’institut d’études politiques de Bordeaux (1996) et a obtenu son doctorat de sciences politiques à Sciences Po Paris en 2000. Sa thèse portait sur les trajectoires d’entrée en politique de membres de l’aristocratie javanaise en Insulinde coloniale (Indonésie néerlandaise) des années 1880 aux années 1930. Il a rejoint le CERI en 2001.
Il a fait partie des comités de rédaction des revues Critique internationale, Genèses et Raisons politiques. Il est actuellement membre du comité de rédaction de la revue Annales. Histoire, sciences sociales, ainsi que des comités de lecture des revues Politix. Revue des sciences sociales du politique et Moussons. Recherche en sciences humaines sur l’Asie du Sud-Est.
De 2009 à 2012, il a codirigé à Sciences Po, avec Stéphane van Damme (Centre d’histoire de Sciences Po), le séminaire de recherche « L’épreuve des Indes. Les fabriques impériales de la modernité », qui traitait de l’historiographie de la construction et de la circulation des savoirs en situations de « rencontre impériale3 ».
Il est aujourd’hui l’un des représentants, en France, du courant historiographique dit de l’« histoire connectée », qui se donne pour tâche d’écrire une histoire plus équitable des situations de contact entre Européens et Asiatiques à l’époque moderne.
BIBLIOGRAPHIE
Qui a fait le tour de quoi ? L’affaire Magellan, Verdier, 2020.
L’exploration du monde. Une autre histoire des Grandes Découvertes (dir.), Paris, coll. L’Univers historique, Seuil, 2019.
Le Détail du monde. L’art perdu de la description de la nature, Paris, coll. L’Univers historique, Seuil, 2019.
Colonisation: une autre histoire, Paris, La Documentation Française, coll. La Documentation photographique, 2016.
Le Long Remords de la Conquête. Manille-Mexico-Madrid: l’affaire Diego de Ávila (1577-1580), Paris, Seuil, 2015.
Cultures d’empire. Échanges et affrontements culturels en situation coloniale (dir., avec Hélène Blais et Emmanuelle Sibeud), Paris, Karthala, 2015.
L’Histoire à parts égales. Récits d’une rencontre Orient-Occident (xvie – xviie siècles), Paris, Seuil, 2011 (réed. coll. Points Histoire, 2014).
Mémoires d’empire. La controverse autour du « fait colonial », Bellecombe-en-Bauges, Editions du Croquant, 2006.
État colonial, noblesse et nationalisme à Java : la Tradition parfaite (xviie – xxe siècles), Paris, Karthala, 2005.
Indonésie, la démocratie invisible. Violence, magie et politique à Java, Paris, Karthala, 2002.
Cultures of Voting. The Hidden History of the Secret Ballot (dir. avec Jean-Louis Briquet et Peter Pels), Londres, Hurst, 2007.
Dossiers « Pèlerinages politiques » (Politix, 20 (78), 2007), « L’État colonial » (dir. avec Emmanuelle Saada, Politix, 17 (66), 2004) et « Anthropologies du sujet politique » (Raisons politiques, 1 (4), 2000).
Ethnographe engagé de renommée internationale, fondateur en 1988 d’Icra International, du Fonds mondial pour la sauvegarde des cultures autochtones en 1993 et de la fondation Anako , Patrick Bernard se consacre depuis près de quarante ans aux peuples de tradition orale les plus menacés.Il est à l’origine d’un collectif d’associations qui a permis l’attribution du prix Nobel de la paix 1992 à Rigoberta Menchú Tum.
Il est l’auteur d’une quinzaine de livres, le réalisateur et le producteur de plusieurs séries télévisées qui comptent à ce jour une cinquantaine de films de télévision diffusés sur les chaînes de France Télévisions et du monde entier comme France 5, Arte, Discovery Channel ou National Geographic. Il est également le fondateur des sociétés d’édition et de production Anako.
LES OUBLIÉS DU GRAND RIFT -Soudan – Ethiopie – Kenya – Tanzanie
MONGOLIE -Les Fils du vent
PEUPLES D’INDOCHINE -Par plaines et montagnes-
THAÏLANDE -Un autre regard-
TRIBUS EN SURSIS
QU’EST-CE QU’ANAKO
La Fondation Anako œuvre activement à la constitution et à la sauvegardes des mémoires audiovisuelles des derniers peuples et cultures autochtones de tradition orale (derniers chasseurs-cueilleurs itinérants, peuples d’éleveurs nomades, dernières sociétés agricoles de tradition orale, ethnies minoritaires et premières nations).
Les peuples racines, dont les plus isolés ont su préserver un lien très fort à la nature, voient aujourd’hui leurs modes de vie bouleversés, leurs spiritualités animistes et leurs riches cultures de tradition orale menacées d’une rapide extinction.
La Fondation Anako soutient des programmes de terrain aux quatre coins du monde qui permettent aux communautés autochtones de se réapproprier leur image et d’apprendre à utiliser les outils audiovisuels pour écrire elle-même ce livre d’histoire dont elles avaient jusqu’ici été privées en enregistrant elles mêmes la paroles des anciens ou en filmant pour les générations à venir leurs rituels les plus importants.
Outre ses programmes de terrain, la Fondation recense, collecte, numérise et assure la conservation d’enregistrements, d’écrits et d’images réalisés par les pionniers de l’exploration ethnographique dans les années au milieu et dans la deuxième moitié du XXème siècle. Ces images et ces sons extrêmement précieux témoignent de cultures et de modes de vie aujourd’hui disparu et peuvent ainsi venir compléter le travail de mémoire initié par les communautés autochtones et par les dernières sociétés tribales.
Comment est née cette fondation : quel a été l’élément déclencheur ?
La fondation est née en 2010 suite à ma rencontre avec le chef Yawalapiti Aritana de la région du Haut-Xingu au Brésil. Aux côtés du chef Raoni, il a œuvré contre la déforestation et pour le respect des peuples amérindiens. Il est malheureusement décédé il y a peu.
Lorsque j’étais dans son village en 2010, il m’a demandé d’apprendre à un groupe d’une dizaine de jeunes à filmer et de leur laisser du matériel pour qu’ils puissent enregistrer un rituel fondateur : le Kuarup. Il s’agit d’une cérémonie de lever de deuil réalisée un an après le décès d’un individu, permettant à son âme d’être libérée.
Ce projet a merveilleusement bien marché. Les jeunes ont fait un travail extraordinaire qui a été diffusé par les chaînes de télévision nationale. C’est ce qui nous a donné l’envie de mener des projets similaires à travers le monde.
Les sentiers et les routes d’Abyssinie et de l’Ethiopie actuelle parcourent des vallées et des montagnes où les grandes civilisations plongent leurs racines les plus profondes. Patrick BERNARD et l’équipe ANAKO nous entraînent sur les pistes de nos origines à la découverte de ce pays, véritable sanctuaire de l’Humanité et de ses peuples fascinants. En mettant nos pas dans les pas, d’Arthur Rimbaud, l’homme aux semelles de vent, à travers le quotidien des familles, en parcourant des paysages et des sites à couper le souffle, Patrick Bernard nous invite à découvrir la riche culture des peuples des montagnes sur les sentiers des grands royaumes d’Abyssinie comme sur les pistes du sud à la rencontre des tribus les plus reculées et de leurs étonnants rites de passage… Un voyage fascinant sur la piste de nos origines.
Ce beau voyage a été effectué par deux jeunes étudiants, Estelle Pautret et Florian Karoubi. Curieux de connaitre et de comprendre comment vivent les hommes, ils nous feront traverser quatorze pays. On y retrouvera les coutumes et les traditions qui se ressemblent et s’assemblent pour former l’humanité
Ispahan
Paysages de Saintonge du photographe Stéphane Souchon
La Tremblade
Evocation des 10 ans du festival
Sur les stands des invités vous pourrez aussi retrouver les expositions de Ker Adhili calligraphe, des carnettistes de voyages : Sylvie Bargain, Ghislaine Feroux, Philippe Bichon, Andrée Terlizzi et du peintre et dessinateur à l’encre : Simon