Christine Ribardière

Christine Ribardière

BIOGRAPHIE

Christine Ribardière, née à Montmorillon, ancienne élève du collège puis du lycée Jean-Moulin, a été une vingtaine d’années durant professeure d’anglais au collège de Chauvigny, avec sa collègue Michelle Deperrois-Fayet, qui enseignait à Poitiers. Toutes deux retraitées de l’Education Nationale, elles traduisent à quatre mains récits de voyages et biographies.

BIBLIOGRAPHIE

  •  
     
    Reine à Bornéo. Souvenirs d’une vie singulière (1849-1936)
    Margaret Brooke
    Michelle Deperrois-Fayet (Traducteur), Christine Ribardiere (Traducteur), Alain Quella-Villéger (Postfacier) Magellan et Cie , mars 2022
     
  • Göran Schildt - Du Havre à Monaco par fleuves et canaux - Eté 1948.
  •  
    Du Havre à Monaco par fleuves et canaux. Eté 1948
    Göran Schildt
    Michelle Deperrois-Fayet (Traducteur), Christine Ribardiere (Traducteur), Alain Quella-Villéger (Préfacier), Coédition Bleu Autour/ Le Carrelet, juin 2018
     
    •  
  • ZOOM sur Reine à Bornéo. Souvenirs d’une vie singulière (1849-1936)

    Margaret Brooke
  • Ainsi démarre la folle aventure d’une jeune fille de vingt et un ans, britannique née en France, que rien ne prédestinait à tenir un tel rôle en Malaisie. Margaret Brooke (1849-1936) raconte sans fards la vie qu’elle mène au Sarawak au temps des « rajahs blancs » et des Dayaks coupeurs de tête. Faisant fi de beaucoup des convenances de son époque victorienne, elle se lie davantage avec ses « amies malaises », qui lui apportent sérénité, curiosité et joie de vivre, plutôt qu’avec la « bonne société » présente sur place. Son récit, Good morning and good night (1934), traduit par Michelle Deperrois-Fayet et Christine Ribardière, est le portrait d’une femme libre, capable de passer des splendeurs d’un pays « exotique » aux fastes de la cour de Londres au gré de l’alternance de ses séjours, et de nourrir ses amitiés avec simplicité auprès de gens humbles comme avec des grands intellectuels tels que Henry James ou Pierre Loti. Tous ses malheurs personnels, avec notamment la perte de ses enfants, n’entament pas un solide appétit de vivre pour profiter à plein de son histoire, dont Alain Quella-Villéger retrace les grandes lignes dans une postface circonstanciée.

     

  •  

 

 

Facebooktwitter