Dominique Delahaye

Dominique Delahaye

 

BIOGRAPHIE  – Source In8

Dominique Delahaye a enseigné en école élémentaire et a mené des activités syndicales et associatives. Il écrit des nouvelles et des romans noirs, des scénarios de BD, des chansons et des spectacles théâtraux. Il est l’un des fondateurs du festival du « Polar à la plage » du Havre. Il est également musicien et animateur du collectif « Polaroïds rock ». Il est marié et père de deux enfants. Il vit et navigue à bord d’une péniche. Ses livres sont publiés chez In8 et à la Manufacture de livres.

Il connaît deux passions, le jazz, et la vie sur le fleuve. I Musicien poly-instrumentiste, il crée des spectacles qui mêlent jazz et littérature.

BIBLIOGRAPHIE

Romans
Le passager clandestin, Syros jeunesse, 2012

Pile & face, Éditions Rue du Départ, 2011

Les pirates du Komodo, Syros jeunesse, 2014

Une trompette dans le coeur, Syros jeunesse, 2019

Black Narcissus, Éditions Bertout, 2005

Compression de personnel, Éditions Bertout, 2002

Au perroquet bleu, Éditions Bertout, 2001

Un été de plomb, Éditions Bertout, 2000

Gueules cassées, Éditions In8, octobre 2022

Novellas
Le Havre en noir aux quatre saisons, Éditions du Havre de Grâce, 2007

À fond de cale , Éditions In8, 2014 [ DROITS VENDUS : POCHE (J’ai Lu) – adaptation cinéma (Matthieu Windholtz)]

Si prés d’Amsterdam, Éditions In8, 2015

Naufrages, Éditions In8, 2022

Nouvelles
Droit dans le mur, Éditions des Falaises, 2003

Bandes dessinées
L’héritage, Éditions du Havre de Grâce, 2006

Le grand quai, Éditions Bertout, 1997

Gaston Grégoire, Éditions Bertout, 2000

Autres
Le Havre : lueurs et contrastes, Éditions du Havre de Grâce, 2008

ZOOM sur Naufrages

Dominique Delahaye Naufrages

Dolorès vit seule sur sa péniche amarrée canal Saint-Martin à Paris. Elle est investie dans l’aide aux migrants. Elle sympathise avec une jeune feme, Nafy, qui a fui l’Afrique et la violence des hommes. C’est oublier que la violence s’exporte. Deux immigrés, dont le rapace Bryan, s’affrontent autour d’elle sur les quais de la Seine. Le corps féminin, même en souffrance, est toujours regardé comme une marchandise. Bientôt, auprès de Nafy, il n’y aura plus la place pour deux.

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Léopoldine et Élise Desprez

Léopoldine et Élise Desprez

BIOGRAPHIES

Source Transboréal 

Léopoldine Desprez

Diplômée d’agroécologie, éleveuse laitière dans l’Orne. A traversé avec sa sœur benjamine le Kirghizistan à cheval.
 

C’est certainement de ses errances d’enfant qu’est né le goût de Léopoldine Desprez pour la géographie, qu’elle étudie jusqu’en 2009 et sa licence à Caen, loin des grands lacs du Minnesota, où elle a repassé son bac, et de la forêt finlandaise à hauteur d’Oulu, où elle séjourne en troisième année. En 2012, elle poursuit un master d’agroécologie entre Lyon, le sud d’Oslo et les ranchs du Montana.

En parallèle, Léopoldine Desprez se nourrit d’autres voyages. Une traversée des Alpes de Transylvanie à cheval, une expédition en bateau-stop dans les Caraïbes, des randonnées itinérantes en Scandinavie et en Amérique du Nord et, en 2019, la traversée des monts Célestes à cheval du sud du Kirghizistan au nord du Kazakhstan, accompagnée de sa benjamine Élise. C’est ainsi dans les Tian Shan que les deux sœurs prendront plaisir à se perdre durant plusieurs mois, accompagnées cette fois de trois chevaux kirghizes, de quelques cartes topographiques et d’une myriade de bonnes étoiles au-dessus de leurs têtes.

Tiraillée entre ce besoin de parcourir le monde, d’aller à la rencontre des personnes qui le peuplent et celui de s’ancrer dans la terre et de construire ici les changements qu’elle veut voir advenir, Léopoldine Desprez s’installe en 2022 comme éleveuse laitère dans le GAEC qu’elle a créé à L’Aigle, dans l’Orne, en association avec une paysanne-boulangère.

Élise Desprez

 
 

Caravansérail de Tash Rabat – Tian Shan (Kirghizistan)
Année 2019
© Léopoldine Desprez
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Titulaire d’un NBA de commerce international. A traversé avec sa sœur aînée le Kirghizistan à cheval.


Un premier voyage effectué seule en Australie lorsqu’elle a 16 ans fait éclore en Élise Desprez une curiosité de l’ailleurs, une furieuse envie de découverte et d’apprentissage auprès de celles et ceux qu’elle croise sur son chemin. Le bac en poche, elle se lance dans une traversée des Alpes de Transylvanie à cheval, accompagnée de sa grande sœur. Le nom de cette région, nichée au cœur de la Roumanie et bordée par les Carpates, signifie « au-delà des forêts » en latin. C’est aussi dans les mots qu’Élise aime deviner les prémices de futures aventures lointaines.

Élise Desprez poursuit ensuite des études de commerce international : bachelor à l’université anglaise de Hull en 2009, master à Kedge Business School à Bordeaux en 2011 et MBA à l’université Bimtech de New Delhi en 2012, sans oublier les stages en Espagne et en Nouvelle-Zélande. Ainsi, pendant près de cinq ans, elle connaît de longues périodes d’immersion dans d’autres cultures qui lui ont permis de rencontrer l’altérité.

Les études de commerce menant à tout à condition de savoir en sortir, Élise Desprez entame ensuite une carrière dans la solidarité. Solidarité locale en France, auprès de personnes en situation de handicap ou de jeunes éloignés de l’emploi par exemple, et solidarité internationale dans des projets de coopération avec différentes ONG, notamment dans le domaine de l’accès à la santé et à l’éducation en Tanzanie, ainsi qu’au Nicaragua et au Costa Rica.

C’est en 2019 qu’une fenêtre spatio-temporelle s’ouvre pour Élise Desprez et son aînée, toutes deux disponibles pour réaliser l’un de leurs rêves de jeunesse : celui d’aller à la rencontre de la culture nomade d’Asie centrale à cheval ; aussi se lancent-elles dans la traversée des Tian Shan kirghizes et kazakhes. Là aussi, l’étymologie laisse présager de belles aventures puisque ce toponyme centrasiatique signifie « monts célestes ». C’est là qu’elles prendront plaisir à se perdre durant plusieurs mois, accompagnées cette fois de trois chevaux kirghizes, de quelques cartes topographiques et d’une myriade de bonnes étoiles au-dessus de leurs têtes.

Depuis 2020, Élise Desprez est déléguée régionale Auvergne-Rhône-Alpes de JobIRL, qui œuvre à l’insertion professionnelle des jeunes éloignés de l’emploi.

BIBLIOGRAPHIE

Cavalières, La chevauchée kirghize Éditions Transboréal

Léopoldine et delphine Desprez Cavalières
En 2019, Élise et Léopoldine Desprez réalisent leur rêve : partir en Asie centrale et traverser le Kirghizistan à cheval par les monts Célestes (Tian Shan). Trouver des chevaux robustes sur le marché de Bichkek, ne pas les perdre dans l’immensité de la steppe et voyager seules sans autre protection qu’un couteau et leur chien Ben font partie des défis à relever. Au fil des quatre mois de leur aventure, elles deviennent de véritables cavalières nomades dans la nature sauvage, de la vallée de l’Ak Say aux rives du lac Issyk-Koul. À chaque pas des 1 600 kilomètres parcourus, la surprenante caravane reste soudée et progresse au gré des rencontres, des bolées de koumis et des nuitées sous la yourte offertes.
 
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Clapat

Clapat

BIOGRAPHIE

Patrick Clapat, alias Clapat, est un auteur de bande dessinée, scénariste, dessinateur et coloriste.

Il a participé à la série « Alcibiade Didascaux » – dont le but est de retracer l’histoire des civilisations via un personnage fictif, Alcibiade Didascaux – comme auteur (aussi sous les pseudonymes de Scardanelli et de Jorgensen) et comme dessinateur.

Source Babelio

BIBLIOGRAPHIE

 

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Jean-Pierre Brouillaud

Jean-Pierre Brouillaud

BIOGRAPHIE

Jean-Pierre Brouillaud est écrivain-voyageur, membre de la Société des explorateurs français.

Il a complètement perdue la vue à la suite d’un glaucome à l’âge de 15 ans.

Poussé par une souffrance, il part seul sur les chemins de Katmandou à 18 ans. C’est le début d’un périple qui durera des années. Inde, Népal, Afrique, Amazonie, Pacifique. Il a fait les cinq continents.

Il rencontre sa femme lors d’un voyage au Pérou. Aujourd’hui séparés, ils s’installeront en Ardèche, et auront une fille Leïla, née en 1995.

A Robion, dans le Vaucluse en , il fait une rencontre déterminante avec Yvan Amar, écrivain et conférencier français de spiritualité, fondateur des éditions du Relié.

Fin 2009, il ouvre un blog : L’iIlusion du Handicap pour témoigner de sa différence, une fenêtre sur le monde à partir de laquelle tous ses rêves d’adolescents se réalisent. En effet des journalistes et des écrivains comme Patrice Franceschi et Philippe Pozzo di Borgo, mais aussi des réalisateurs comme Lilian Vezin ou Julie-Anna Richard, lui permettront de publier livres et films documentaires.

Invité dans de nombreux festival d’aventures, il devient conférencier.

Depuis 2018, sous l’impulsion et avec le parrainage d’Olivier Archambeau et de Patrice Franceschi, il devient membre sociétaire de la Société des Explorateurs Français.

En 2020, le comédien Pierre Blumberg lui ouvre les portes du monde du théâtre où il est invité pour faire des lectures de ses récits et de ses poésies. Il crée alors les spectacles Ne Touchez pas à l’interrupteur et Voyages au bout de ma nuit.

Source Babelio et Wikipédia

BIBLIOGRAPHIE

  • Voyages du coq à l’âme, par delà le visible, 2019, Éd. Aluna Editions
  • Incandescences (Rouge Désir) Recueil de Poésie, 2018, préfacé par Philippe Pozzo di Borgo
  • Aller voir Ailleurs, dans les pas d’un voyageur aveugle, 2016, Éd. Point préfacé par Patrice Franceschi

Préfaces et Postfaces

Participations

  • L’humour face au handicap, d’Etienne Moulron, préfacé par Philippe Pozzo di Borgo Éd de la maison de l’Humour, 2021.
  • L’avenir est en nous : Des aventuriers de l’existence témoignent, de Marie Clainchard Éd. Éditions Dangles, 2014. 
  • Pouceux – 60 récits de bord de route, recueil de récits colligé par les journalistes Helene Mercier et Philippe Marois, Éd.Éditions Cardinal, 2014. 

Films

  • Post Scriptum, l’illusion de l'(A)normalité, Le Film, Un regard croisé entre Alexandre Jollien et Jean-Pierre Brouillaud, un film de Julie-Anna Richard et de Jean-Cedric Rimaud, réalisé dans le cadre du Festival ThePlaceToBe– Lyon, 2021.
  • Zigoneshi, expédition en territoire Kogi, film documentaire de 52 min de et avec Lilian Vezin et Jean-Pierre Brouillaud, VENT DU LARGE PRODUCTION 2018. Sélection officielle du Festival International du Film Entr’2 Marches Cannes 2021.
  • Deux Hommes, un Regard, film documentaire de 52 min de et avec Lilian Vezin et Jean-Pierre Brouillaud, VENT DU LARGE PRODUCTION 2015. Sélection officielle du Festival HandiFilm de Rabat au Maroc et au Caire en Égypte 2016.

Théâtre

  • Voyages au bout de ma nuit, lecture dans le noir, un spectacle créé et présenté lors de la 75e édition du Festival Off d’Avignon 2021
  • Voyages au bout de ma nuit, lecture dans le noir, accompagné sur scène par le musicien Mathias Duplessy à la Société de Lecture de Genève 

Source Wikipédia

ZOOM sur « Voyage du coq à l’âme »

Dans ses carnets de voyages, Jean-Pierre Brouillaud utilise la cécité et son verbe poétique comme une lampe de poche pour explorer le grand corps palpitant du monde tout en rapprochant amoureusement être et apparence.

Et si ce que nous appelons le monde n’était que l’écho de notre peur d’être ?

Voici une invitation au voyage qui dérègle les sens, mêlant érotisme, humour, audace et sagacité, par un aventurier aveugle, sans horizon… Un vagabondage sans départ ni retour, réunissant tous les rivages. 

Source Éditions Aluna

Introduction  Source Blog L’Illusion du handicap

J’avais retenu, du peu d’études que j’ai faites, que le géographe Ératosthène s’était laissé mourir de faim parce qu’en devenant aveugle il ne pouvait plus contempler les étoiles. Dans l’ardent désir de faire de ma vie un voyage, y a-t-il eu un besoin de réparer la capitulation d’Ératosthène ?

Je me demande bien pourquoi, comme lui, j’aurais dû abandonner au plus grand nombre, à ceux qui voient, l’exclusivité de faire l’amour au grand corps palpitant du monde.

En voyageant sans but précis dès l’âge de seize ans, sans doute ai-je voulu continuer à infinir la route de ces hommes, privés de la vue mais vaillants, du Britannique James Holman, au siècle dix-neuf, toujours entre la Patagonie et la Russie, et celle du Français Jacques Arago, qui publiera en 1840 Voyage autour de la terre – Souvenirs d’un aveugle.

Ma soif du mouvement s’est abusivement enivrée aux incroyables vies de ces explorateurs de l’ombre, aux pages des livres d’aventures, augmentée par le sel et les piments des mots de Kessel, Bruce Chatwin, Cendrars, au sein du réalisme magique de Garcia Marquez et aux sources psychédéliques de mes grands frères de la beat generation.

Avec le philosophe, je crois que ce qui est étonnant, ce n’est certes pas ce que nous faisons, mais ce que nous ne faisons pas, alors que nous en avons envie.

En pleine adolescence, ça tremble dans ma terre intime quand je découvre que ça m’a pris au moins un an pour réaliser que désormais je suis aveugle.

Je me retrouve devant deux chemins : faire ce qui m’appelle, même si ça semble impossible, ou me résigner à une petite mort en endossant l’existence d’un aveugle standard.

Peu à peu, en voyageant le monde et les êtres, je découvrirai qu’en nous il y a une faculté précieuse, celle de se transformer. Ce sera le second choc, un choc quantique.

Proposition d’un regard tout autre : « Soyons Un ». En d’autres termes, voyons en l’autre un frère et la nature comme une mère. Ouvrons les yeux de la conscience, ceux qui relient les choses entre elles au lieu de les séparer.

 

 

Zigoneshi, chapitre 69 du livre de Jean-Pierre Brouillaud édité par Aluna,
voyage du coq à l’âme.

Un mot – Zigoneshi (Texte de Jean-Pierre Brouillaud)

 

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Linda Bortoletto

BIOGRAPHIE

Ancienne officier de l’armée de l’air, capitaine de gendarmerie puis haut fonctionnaire du ministère des Finances, Linda Bortoletto décide un jour d’envoyer balader confort, carrière prometteuse et mari. Elle écoute son intuition, qui lui crie d’oser enfin devenir ce qu’elle a toujours rêvé d’être : une aventurière.

Source Babelio

BIBLIOGRAPHIE

 
 
  • Le souffle des Andes (Payot, 2021)
  • Le chemin des anges (Payot, 2021)
  • L’audace nous rendra libre (Éditions du Passeur, 2017).
  • Là où je continuerai d’être (Éditions du Passeur, 2016)

ZOOM sur   Le souffle des Andes

 

À l’été 2019, alors qu’elle parcourait seule, en Turquie, le trek du Chemin des Soufis, Linda Bortoletto faillit mourir dans les montagnes d’Anatolie centrale, victime d’une agression sexuelle dont elle réchappa par miracle et qui la laissa dévastée. Quelques mois plus tard, elle décidait de se lancer dans un périple de résilience et de purification en affrontant l’un des treks les plus difficiles de la planète, le Greater Patagonian Trail, qui, depuis Santiago du Chili, traverse les Andes sur trois mille kilomètres non balisés, absolument sauvages, dangereux, où règnent les quatre éléments (volcans en activité, torrents déchaînés, apocalyptiques tempêtes, végétation parfois infranchissable). Ce défi la conduira au bout du monde, là où renouer avec la vie.

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Daphné Buiron

Avec les manchots royaux de Gold Harbor – Géorgie du Sud
Année 2016
© Daphné Buiron

 

 

 

 

 

BIOGRAPHIE

Daphné Buiron est titulaire d’un doctorat de géosciences de l’université de Grenoble, portant sur l’étude des paléoclimats dans les carottes de glace. Adepte du terrain, elle s’est d’abord rendue, en 2008, au Groenland dans le cadre d’un programme de forage international. En 2011, elle réalise l’un de ses plus grands rêves en partant hiverner pendant un an sur la base Dumont d’Urville en Antarctique, comme volontaire chimiste-glaciologue. Une expérience intense durant laquelle elle passera six semaines à bord de L’Astrolabe.
Depuis cette immersion, elle partage son temps entre sciences et médiation, organisant notamment en 2016 un voyage pédagogique à la rencontre de classes primaires dans l’Ouest groenlandais. Le plaisir de partager ses passions la conduit à intervenir comme guide naturaliste et conférencière en Arctique, en Antarctique et dans d’autres régions du monde. Elle est l’auteure de plusieurs articles scientifiques et grand public, et œuvre activement à la littérature pour la jeunesse, en particulier à travers la revue Baïka et la publication d’albums docu-fiction (voir Le Grand Voyage de L’Astrolabe, Le Pommier, 2017).

Source Éditions EPA

BIBLIOGRAPHIE

• Femmes d’aventures (coll. « Points Aventure », Seuil, 2022), ouvrage collectif
• L’Astrolabe, Le passeur de l’Antarctique (avec Stéphane Dugast, préface de Jean-Louis Étienne, EPA Éditions, 2021), monographie
• Pagaille en Antarctique (Le Pommier, 2019), roman pour enfants
• Le Grand Voyage de l’Astrolabe (illustrations de Catherine Cordasco, Le Pommier, 2017), livre pour enfants

  • Habiter l’Antarctique  (Transboréal, Janv 2023)

Source Transboréal

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Marc Alaux

 

Massif du Khan-Khöökhi – Uvs (Mongolie)
Année 2004
© Laurent Barroo

 

 

 

 

Biographie

 
Après un baccalauréat littéraire, Marc Alaux s’oriente vers des études d’archéologie. À ce titre, il effectue son service militaire dans l’équipe de fouilles du Service historique de l’armée de terre, au château de Vincennes.

Ayant décidé d’interrompre sa maîtrise sur les enceintes urbaines de l’Antiquité tardive en Gaule romaine, il occupe ensuite divers emplois pour rassembler les fonds nécessaires au voyage à travers la Mongolie qu’il projette.

D’avril à octobre 2001, en compagnie de Laurent Barroo, son ami d’enfance, Marc Alaux parcourt à pied les principaux écosystèmes du plateau mongol : steppes, Gobi, khangai.

Une traversée d’est en ouest qui lui fait découvrir sur 2 300 kilomètres la langue et les mœurs de l’ethnie majoritaire khalkha. De février à avril 2003, il chemine seul sur le versant occidental du massif du Khentii, de la frontière bouriate à Oulan-Bator, où il séjourne aussi.

En 2006, avec son épouse Stéphanie, Marc Alaux s’accorde trois mois pour marcher depuis Oulan-Bator jusqu’au lieu de naissance de Gengis Khan à travers la steppe et la taïga de la région sacrée des Trois Rivières, dans les monts du Khentii.

En 2007, il rédige les notes historiques et ethnographiques du Voyage en Mongolie et au pays des Tangoutes (1870-1873) de Nikolaï Prjevalski et publie, toujours chez Transboréal, un récit de voyage, Sous les yourtes de Mongolie.
 
 

Bibliographie

Sous les yourtes de Mongolie par Alaux
Sous les yourtes de Mongolie – 2010
Nomade du Grand Nord : En kayak avec un chien esquimo par Alaux
Nomade du Grand Nord : En kayak avec un chien esquimo – 2006
La vertu des steppes par Alaux
La vertu des steppes – 2010
Joseph Kessel : la vie jusqu'au bout par Alaux
Joseph Kessel : la vie jusqu’au bout – 2015
Ivre de steppes par Alaux
Ivre de steppes – 2018
Mongolie : Entre l'ours et le dragon par Alaux
Mongolie : Entre l’ours et le dragon – 2021
Pour tout l'or de la forêt par Alaux
Pour tout l’or de la forêt – 2020
Tamir et le loup des steppes par Alaux
Tamir et le loup des steppes – 2012
Jentayu - Hors-série, n°4 : Mongolie par Alaux
Jentayu – Hors-série, n°4 : Mongolie – 2020
Moi, Naraa, femme de Mongolie par Alaux
Moi, Naraa, femme de Mongolie – 2020
L’Initiation par Alaux
L’Initiation – 2021
Nanda Devi: Ultime sanctuaire himalayen par Alaux
Nanda Devi: Ultime sanctuaire himalayen – 2022
 

ZOOM sur  Une yourte sinon rien, Nouvelles de Mongolie

  Certains voient la vie défiler devant eux. D’autres la prennent à bras-le-corps. C’est la volonté des héros de ces vingt et une nouvelles ancrées en Mongolie. Ils sont nomades, moines, soldats, amants, voleurs, clochards, artistes ou voyageurs, ils vivent à Oulan-Bator, dans le désert de Gobi ou à l’ombre des pics de l’Altaï. Ces petites gens sont à la fois les damnés et le peuple saint des steppes. Pour eux, le destin obéit à des lois qui les dépassent, mais ils s’accrochent de toutes leurs forces à l’existence, jusqu’à la victoire ou l’échec. Et ces textes nous rappellent, souvent avec humour, que vivre c’est agir pour chercher l’énergie salvatrice…

Éditions Transboréal  – Nov 2022

 

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Festival 2020 : Routes du monde

Le festival 2020 nous mènera sur les

 Routes du monde

Les 27/28/29 mars 2020

Affiche Routes du Monde - Festival 2020 des 27/28/29 mars 2020

          

« Le soleil n’est jamais si beau que le jour où l’on se met en route »

Jean Giono

 Les routes du monde nous permettent d’explorer l’ailleurs, le lointain, le différent, l’étrange. A parcourir les routes et les chemins, à traverser les océans ou à gravir les montagnes, nous devenons plus humains. Ces multiples routes portent en elles l’idée d’une humanité guidée par la curiosité, le dialogue, l’envie de construire et de comprendre. Prendre la route c’est se rapprocher de l’équilibre, refuser l’ignorance et les discriminations. C’est aussi garder les yeux ouverts, mesurer les dangers et les risques encourus par notre planète et prendre conscience de ce que nous avons à faire pour la protéger.

Certaines routes sont devenues mythiques et ont joué un rôle important dans le développement de la planète : route de la soie, routes des mystérieuses épices, caravane du sel affrontant l’immensité du désert, route de l’or, route du thé etc… Il faut de bonnes raisons pour partir sur ces chemins inconnus, remplis de dangers, au rythme lent des bêtes de somme et de la marche, ou pour affronter les risques d’une longue traversée en mer. Pourquoi, pendant des siècles, des milliers d’aventuriers sont partis, attirés par l’appât du gain ou pour connaître le vertige d’une vie hors du commun ? Nomades, marchands, ambassadeurs, pèlerins, ils se croisent, font un bout de route ensemble, se séparent. À travers eux, non seulement les marchandises, mais les idées, les religions, les techniques se rencontrent et se transmettent et font ainsi évoluer le monde.

La route du thé

 

De manière plus intime, les routes peuvent aussi mener les hommes vers des concepts philosophiques, mystiques, humanistes ou artistiques.

Chemins de pélerinage : St Jacques de Compostelle

Quand il faut sillonner les continents, franchir les océans et même s’aventurer dans le cosmos, tous les moyens de déplacements sont possibles, de la marche originelle aux moyens techniques les plus sophistiqués. Dans ce domaine, tout notre espoir d’un monde économe et durable reste à construire.

Toujours, au bout des chemins, se trouvent les hommes avec leurs civilisations et des modes de vies, si divers et si complexes. Prendre la route c’est aussi découvrir le vivant : paysages, faune et flore. Cette biodiversité est souvent pillée et gravement menacée par les besoins insensés des hommes !

Fleur sur asphalte - La vie malgré tout -

Sur les routes du monde, on voit les plus magnifiques spectacles de la nature mais on prend aussi conscience de la fragilité de ces merveilles. Prendre la route est donc un exercice salutaire d’ouverture au monde, de tolérance mais aussi une incitation à agir et à nous engager.

nuage de mots  festival L'Écriture prend le large :  Routes du monde des 27/28/29 mars 2020

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