Marc Mangin

 Marc Mangin

Marc Magin

Plus de vingt-cinq ans passés sur les routes de la planète lui ont donné une certaine sérénité face à l’adversité et une grande capacité d’adaptation. Écrivain et photographe, il est spécialiste de l’Asie et a écrit une quinzaine de livres de chroniques de voyage.

« Chroniques indochinoises » Éditions Sipayat

Comme les eaux tumultueuses du Mékong qu’il a décidé de remonter, Marc Mangin louvoie sur dix mille kilomètres, depuis le delta du fleuve, au sud du Viêt-nam, jusqu’au nord du Laos. Il a renoncé, momentanément, à pousser jusqu’aux sources, sur les hauts plateaux du Qinghai dans une Chine où les étrangers sont de moins en moins bienvenus. C’est un vrai voyage, où les imprévus s’enchaînent, traçant une route différente de celle envisagée au départ, mais il a le temps : cinq mois… et plus si affinités.

Biographie (source Sipayat)

Né à Fès (Maroc), en 1957, Marc Mangin n’a, depuis, jamais cessé de voyager. Les études le contraignant à la sédentarisation, il les abandonne avant même de les entreprendre et se lance à l’assaut du monde : l’Europe d’abord puis, dans l’ordre – et parfois même dans le désordre – l’Afrique du Nord, l’Afrique noire, le Proche et le Moyen-Orient. Enfin, l’Asie où il s’attarde, d’abord aux Philippines (Philippines : Instants d’années), puis en Chine (Chine, l’empire pollueur). Il aiguise son regard et sa plume au fil des kilomètres, vit de collaborations avec la presse pendant un quart de siècle (il crée plusieurs titres : East Asian Affairs, Dong Fang, China Act & Fact et se glisse même, quelques années durant, parmi les collaborateurs du prestigieux journal Le Monde), avant de s’abandonner totalement au vagabondage.

« Photographe errant » et « écrivain-vagabond », artisan de sa vie et de ses malheurs, Marc Mangin se cherche entre coups de gueule et poésie, toujours à la recherche d’une personne ou d’un lieu à découvrir. Derrière cette quête se cache le père qu’il n’a jamais connu ni été, mais dont le regard plane sur l’ensemble de son travail (son œuvre !). Comme si le temps s’était arrêté sur le portrait en Noir & Blanc qui trônait jadis sur le buffet de la salle à manger (Instants damnés).

Bibliographie  ( source Sipayat) 

Éditeur Sipayat 

Chroniques indochinoises – 2019 – 
Hindi Kano – 2017 – 
South of the Border – 2015 –
Le théorème d’archipel – 2014 – 
Au sud de la frontière – 2014 –
La voie du boeuf – 2011 – 
Tu m’as conquis tchador – 2010 –

Chez d’autres éditeurs :
Au nom des pères (Presses de la cité, 2017)
Instants damnés (HC, 2009)
Chine, l’empire pollueur (Arthaud, 2008)
Philippines : Instants d’années (Eurasiape, 2002)
Chine, Perspectives (Le Monde / NSE, 2000)
Hong Kong Eternelle (Asa, 1997)
Manille Eternelle (Asa, 1995)
Philippines (Karthala, 1993)

 

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