Florence Archimbaud

Florence ArchimbaudFlorence Archimbault

Grande voyageuse, en compagnie de Sylvie Massart, elle a fait un tour du monde en vélo qui a duré 5 ans. Elles ont aussi parcouru la Laponie en ski pendant la nuit polaire dans une ambiance hostile et envoûtante.

 

 

« Cap nuit, marcher dans la nuit polaire » Éditions Pieds Plumes

« Avez-vous déjà voyagé dans un moment plutôt que dans un lieu ? Marchez avec nous et vous découvrirez que dans l’obscurité, on ne voit pas moins, on voit plus et plus loin. Rencontrez la nuit. Rallumez les étoiles ! »

Quand aventure rime avec poésie, Sylvie Massart et Florence Archimbaud sont prêtes à partir. Suivez leur périple en Laponie où elles ont parcouru quatre-cent-cinquante kilomètres à ski pendant la nuit polaire. Les quatre-vingts-cinq mots et les nombreuses illustrations qu’elles ont choisis pour évoquer cette ambiance à la fois hostile et envoûtante, vous feront passer du frisson à l’émerveillement. » (4ème de couverture)

 

Florence et Sylvie sont de grandes voyageuses. Elles sont auteures, réalisatrices et proposent des projections/débats, des rencontres littéraires, des animations scolaires, des expositions de photographies. Elles participent à de nombreux festivals, salons du livre et animations autour du voyage.

A travers Pieds Plumes, l’un de leurs objectifs est de développer notamment auprès du jeune public:

– le goût de l’effort

– le respect de la nature et de l’autre

– l’intérêt pour la mobilité douce

– l’ouverture d’esprit sur d’autres cultures

Florence Archimbaud est aussi éducatrice sportive, professeure de karaté, seule femme 6 em dan en Bourgogne – Franche-Comté. Elle est diplômée d’état deuxième degré. Elle est aussi 4 em dan d’iaido, BEES 1 sport pour tous, BEES1 de culture physique.
Plus de 35 ans de pratique de karaté, ex-directrice technique de la ligue de Bourgogne et l’une des premières femmes à obtenir cette fonction.

Livres

Cap Nuit

Détours du monde

Marcheuses aux semelles de mots

Hokkaïdo, défier l’hiver à vélo

(source Éditions  Pieds Plumes)

Facebooktwitter

Stéphane Aucante

Stéphane Aucante

Stéphane Aucante

Cinéaste, écrivain, homme de culture, Il dirige l’Institut français de Jérusalem. Il observe avec finesse cet univers bouillonnant et insaisissable, soumis depuis tant d’années à l’occupation et à la guerre.

 

 

« Naplouse , Palestine, portraits d’une occupation » Éditions Dacres

Stéphane Aucante a d’abord fait carrière dans l’audiovisuel, réalisé des courts métrages, écrit pour la télévision. Au début des années 2000, il a entamé un parcours en France de directeur de lieux ou d’événements culturels, tout en signant des adaptations et des mises en scène théâtrales, et en écrivant quelques chansons pour des spectacles musicaux. La direction déléguée de l’Institut français de Naplouse aura été son premier poste à l’étranger, et Naplouse, Palestine est son premier livre édité. (source Éditions DACRES) . Il est le nouveau directeur de la MAC de Bischwiller.

 

Facebooktwitter

Jack Feret

 

Passionné par l’écriture depuis longtemps, et après une carrière internationale dans une banque de financement, il écrit de nombreux livres de sciences fiction qui remporte un important succès auprès des connaisseurs cette littérature ou l’imaginaire  s’associe à la science.

 

 

 

« Wormhole » Annaeditions

Le sort en est jeté. Exoone est parti vers une destination inconnue, malgré les efforts du COL pour suspendre le compte à rebours. Tatiana et son équipe d’intervention n’ont pu échapper à cette fatalité. La jeune physicienne constate que personnes et événements sont souvent très différents de ce qu’elle avait rêvé. Mais son « Interlocuteur » est bien là. Il se rappelle à elle tantôt avec une voix synthétique masculine, tantôt avec une vraie voix de femme. Quel sort réserve-t-il au genre humain, condamné à une prochaine disparition sur une planète bientôt stérile ? Pourquoi refuse-t-il aux humains de quitter le système solaire ? Et quelle est donc cette terrible mission qu’il réserve à Tatiana ? Sauvera-t-elle la Terre et l’Homme ?

Biographie ( source Anneditions)

Jack Feret, Passionné de fantastique, surnommé le « martien » par ses condisciples de sixième, dont Thomas Narcejac ( auteur avec Pierre-Louis Boileau du livre adapté au cinéma sous le titre « les diaboliques ») fut le professeur de latin et de français. Curieux des sciences planétaires et galactiques, soucieux de l’avenir du genre humain, il ne lui restait qu’un pas, un dernier pas à franchir, pour écrire un roman de science-fiction.

Bibliographie

 
Facebooktwitter

Jacques Berlioz-Curlet

Grand amateur de littérature  classique et moderne, il a déjà publié  un grand nombre de livres dont la plupart sont à caractère historique

 

 

 

 

 

 

 

   

« Voyages au-delà des couleurs et des mots »

Fin 2019, le photographe Yves Phelippot a édité un beau livre en collaboration avec le poète Jacques Berlioz Curlet : « Voyages au delà des couleurs et des mots« . Un bel ouvrage à quatre mains invitant au voyage et au rêve.

Le livre se propose de créer un dialogue riche de perspectives entre la musicalité de la langue poétique et celle du langage des images. Toujours ouvrir, toujours susciter des convergences entre les différentes formes d’expression artistique, échanger puis rebondir sur les chemins que seul l’Art peut révéler.

Biographie 

Né en 1946 dans le Lyonnais, Jacques Berlioz-Curlet étudie le droit, les sciences politiques et la médecine légale à Lyon. Entré à 25 ans à l’école des commissaires de police, il mène sa carrière dans diverses régions de France avant de s’établir, pour la retraite, à La Rochelle.

Passionné d’histoire et de littérature classique et moderne, il se lance dans l’écriture en 1998 et publie son premier ouvrage en 1999.

Président de l’association « Les Écrivains de la Côte », membre de l’Académie des Belles-Lettres, sciences et Arts de La Rochelle, il s’implique aussi dans la vie associative avec le Lions Club International, et l’Association de l’Académie Nationale du FBI en Europe.

Il publie également des contes, nouvelles, poésies, récits brefs à compte d’auteur et propose des conférences sur des sujets souvent en rapport avec ses ouvrages publiés.

(source Ed Bordessoules)

Bibliographie (source Babelio

 

L’arbre seringue

FBI : Histoire d’un empire

Le temps des hannetons

Mendiants de Bonheur les Remparts de la Liberte

Vengeance tardive

 

Facebooktwitter

Pierre-François Mouriaux

 

Journaliste scientifique, il a suivi, au plus près, l’extraordinaire route, de Thomas Pesquet. Depuis la station de Baikonour, il nous raconte  le fabuleux parcours de l’astronaute et les enjeux de la recherche spatiale pour l’avenir des hommes  et de notre planète.

 

                             

« Profession astronaute » Editions Paulsen

Pierre-François Mouriaux est journaliste, spécialiste du domaine spatial, collaborateur du magazine Air & Cosmos.
Il a été attaché de conservation au Musée de l’air et de l’espace du Bourget, en 2003.
Il est auteur ou coauteur de six livres jeunesse dont « Comment on fait pipi dans l’espace ? » (Fleurus, 2016), de deux dictionnaires, et d’une biographie, « Alexandre Ananoff, l’astronaute méconnu », prix Aubinière 2013 de l’Institut français d’histoire de l’espace.
Pierre-François Mouriaux est président de l’association « Histoires d’espace ».

Source Babelio 

Facebooktwitter

Fondation ANAKO


Fondation ANAKO

Fondation ANAKO 

La Fondation ANAKO oeuvre à la constitution et à la préservation des mémoires audiovisuelles des cultures de tradition orale.

Pour constituer une mémoire des peuples racines, elle met en place des programmes de terrain avec les communautés autochtones et assure la collecte, la numérisation et la conservation des mémoires audiovisuelles des peuples les plus menacés de la famille humaine.

Qui sont les peuples autochtones ?

Les peuples autochtones sont les descendants des premiers habitants des terres sur lesquelles ils vivent. Ayant subit divers processus de colonisation, ils restent aujourd’hui sous domination culturelle, économique, sociale, minorisés politiquement au sein d’Etats Nations qui ne les reconnaissent pas en tant que peuples distincts, avec leurs propres organisations socio-culturelles et leurs modes de vie marginaux (chasseurs-cueilleurs, éleveurs transhumants, essarteurs, etc.)
Ils représentent aujourd’hui environ 300 millions de personnes, soit 4% de la population mondiale. 

Le film sera diffusé en présence d’Hervé Valentin, docteur en économie du développement,  co-fondateur de la Fondation ANAKO, coordinateur de l’International Commission for the Rights of Aboriginal people – Commission internationale pour les droits des peuples autochtones, il se charge des relations avec les correspondants autochtones et les différents associations de solidarité internationale.:

Facebooktwitter

William Léger

William Léger

William Léger

 

Habitué des voyages au long cours, William a pris l’habitude de quitter les sentiers battus pour créer ses propres itinéraires. Marcheur de fond, traileur et marathonien, rien ne laissait pourtant penser que cet ancien enseignant d’université, marié et père de deux jeunes enfants, plaquerait tout pour réaliser le rêve d’une vie à 37 ans.

 

 

film - ça marche pour moi

Article dans L’Équipe

 

 

Facebooktwitter

Laetitia Klotz

Laetitia Klotz

Laetitia klotz Biographie ( source Transboréal)

Née à Paris en 1981, Lætitia Klotz a grandi à Maule, dans les Yvelines, à équidistance de Versailles, Rambouillet et Mantes-la-Jolie. Ses parents, un Français d’origine alsacienne, et une Vietnamienne élevée à Djibouti, lui transmettent le goût de l’ailleurs. Rapidement, elle veut partir, voyager, connaître et peut-être vivre à l’étranger.

Après deux années de classe préparatoire littéraire, puis des études d’espagnol à la Sorbonne, doublées d’une année en Erasmus à Séville, et de sciences politiques à l’IEP de Bordeaux, Lætitia Klotz travaille pour l’Unesco avant de rejoindre l’ambassade de France à Madrid. Là, elle participe à Radio Círculo de Bellas Artes, qui propose des émissions dédiées aux arts, aux sciences et à la culture, dans le cadre du Cercle des Beaux-Arts. Se confirme alors son appétence pour ce type de média, qu’elle avait découvert à France Bleu Gironde lors de ses études.

Curieuse du monde, Lætitia Klotz privilégie d’abord les courts séjours à l’étranger : Angleterre, Andalousie, Texas, Mexique, Floride, Vietnam sont ses premières destinations. Puis, au début de 2008, elle découvre le Yémen, par amour – et c’est un véritable coup de cœur. Dans la cité millénaire de Sanaa, elle savoure chaque promenade, chaque coucher de soleil sur les montagnes, et se nourrit au fil du temps de ses rencontres avec la population. Elle y restera trois ans, qui lui permettront de se familiariser avec la langue arabe et d’approfondir sa connaissance de l’islam. Au terme de cette période heureuse, il lui faut plier bagage, poursuivre ce qui deviendra une véritable trajectoire d’expatriée. Prochaine destination : l’Arabie Saoudite, bien différente du Yémen, plus fermée, plus secrète, mais riche aussi de rencontres et d’expériences inouïes.

À l’issue de trois années en Arabie Saoudite, le besoin de se raccrocher à une terre, d’avoir un port d’attache s’impose. Ce sera Saint-Jean-de-Luz et le Pays basque. Lætitia Klotz s’y fait des amis, une famille, sait que sa maison est là, désormais. Cela lui permet de repartir encore plus librement : à Singapour, d’abord, où elle travaille au lycée français, renoue avec la radio et s’investit dans une association d’aide aux employées de maison maltraitées – ce qui aboutira à la publication d’un ouvrage collectif, Our Homes, Our Stories: Voices of Migrant Domestic Workers in Singapore (HOME, 2018). Mais l’appel de la « perle de l’Afrique » se fait entendre. En septembre 2018, la voyageuse arrive à Kampala et, forte de son goût pour la radio, crée Bonjour Kampala, la première web-radio francophone d’Ouganda, où elle anime une émission sur les femmes, « L’École des femmes ».

Bibliographie

Intime Arabie, Confidences saoudiennes 

  Extrait ( source Transboréal)

Le camp :

« Cela fait presque deux mois que j’habite à Jubail, en Arabie Saoudite. J’ai l’impression de n’avoir encore rien fait, rien mis en place, rien vu d’autre que mon compound. Ma vie se réduit à des promenades redondantes et circulaires, dans les fins d’après-midi. Deux kilomètres, cela peut être long avec deux enfants en bas âge. La partie arrière, côté sud, en bordure du mur, n’est pas des plus charmantes, alors nous nous contentons en réalité de la façade maritime. Nous y faisons des allers-retours, passant d’une plage à l’autre, de la pointe est à la pointe ouest. Puis vice versa. Nous avançons à petits pas ; je regarde la mer, la ligne de bouées orange qui délimite la frontière de notre monde avec le vrai monde. La mélancolie m’assaille. Ce n’est qu’un petit bras de mer fermé et l’on ne voit rien à l’horizon si ce n’est la rive d’en face. Même si elle est en Arabie, qu’elle n’est ornée que d’une mosquée et de ses minarets, que personne ne s’y promène, cette rive me paraît belle, vaste, libre. Elle signifie la possibilité d’une évasion, de sortir de mon enclos. Comme si, de l’autre côté de mes murs, de la ligne de bouées, sur cette plage d’Arabie, il y avait la liberté. »

Éditions Transboréal 2020

Facebooktwitter